Author: | Joséphine Laturlutte | ISBN: | 1230000260110 |
Publisher: | éditions de la Sirène | Publication: | January 12, 2018 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Joséphine Laturlutte |
ISBN: | 1230000260110 |
Publisher: | éditions de la Sirène |
Publication: | January 12, 2018 |
Imprint: | |
Language: | French |
« Nous avançâmes le long de la grande allée, seulement guidés par le puissant clair de lune, cet aimable projecteur astral qui resta braqué sur nous, et nous avançâmes jusqu'aux remparts sur lesquels nous grimpâmes en riant comme des fous, nous imaginant en courageux archers prêts à mourir pour défendre notre domaine, et nous nous avançâmes jusqu'à la première tour où un escalier qui s'ouvrit devant nous nous obligea à redescendre. Ce que nous fîmes avant de nous engouffrer, toujours en riant aux éclats, sous la porte qui nous donna accès à un autre escalier, que nous grimpâmes lui aussi promptement. Nous arrivâmes bientôt dans une grande salle voûtée dont le sol était recouvert d'épais tapis et au centre duquel, vision surréaliste autant que saugrenue, trônait un grand lit à baldaquin ! Tandis que le long du mur étaient soigneusement rangées quelques malles métalliques et des projecteurs, bien sûr éteints, mais qui étaient reliés par de nombreux câbles électriques, qui semblaient avoir été installés là pour éclairer cette scène éminemment kafkaïenne.
Suzanne et Doris en restèrent sans voix et elles nous regardèrent avec des mines aussi curieuses qu’intensément interrogatives. »
Mais comment cette belle histoire va-t-elle se terminer ?
Vous le saurez en vous plongeant, avec les mêmes délicieux frissons qu’à l’accoutumée, dans la lecture de cette longue, délicieuse et édifiante nouvelle de notre amie Joséphine ?
Le comité éditorial
« Nous avançâmes le long de la grande allée, seulement guidés par le puissant clair de lune, cet aimable projecteur astral qui resta braqué sur nous, et nous avançâmes jusqu'aux remparts sur lesquels nous grimpâmes en riant comme des fous, nous imaginant en courageux archers prêts à mourir pour défendre notre domaine, et nous nous avançâmes jusqu'à la première tour où un escalier qui s'ouvrit devant nous nous obligea à redescendre. Ce que nous fîmes avant de nous engouffrer, toujours en riant aux éclats, sous la porte qui nous donna accès à un autre escalier, que nous grimpâmes lui aussi promptement. Nous arrivâmes bientôt dans une grande salle voûtée dont le sol était recouvert d'épais tapis et au centre duquel, vision surréaliste autant que saugrenue, trônait un grand lit à baldaquin ! Tandis que le long du mur étaient soigneusement rangées quelques malles métalliques et des projecteurs, bien sûr éteints, mais qui étaient reliés par de nombreux câbles électriques, qui semblaient avoir été installés là pour éclairer cette scène éminemment kafkaïenne.
Suzanne et Doris en restèrent sans voix et elles nous regardèrent avec des mines aussi curieuses qu’intensément interrogatives. »
Mais comment cette belle histoire va-t-elle se terminer ?
Vous le saurez en vous plongeant, avec les mêmes délicieux frissons qu’à l’accoutumée, dans la lecture de cette longue, délicieuse et édifiante nouvelle de notre amie Joséphine ?
Le comité éditorial