Une histoire des temps à venir

( Edition intégrale )

Kids, Teen, Science Fiction, Romance, Science Fiction & Fantasy, Fiction & Literature, Literary
Cover of the book Une histoire des temps à venir by Herbert George Wells, Henry D. Davray, Paris : Société du Mercure de France, 1901
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Author: Herbert George Wells, Henry D. Davray ISBN: 1230002923994
Publisher: Paris : Société du Mercure de France, 1901 Publication: November 26, 2018
Imprint: Language: French
Author: Herbert George Wells, Henry D. Davray
ISBN: 1230002923994
Publisher: Paris : Société du Mercure de France, 1901
Publication: November 26, 2018
Imprint:
Language: French

Le récit a été écrit à la toute fin du xixe siècle, mais il se passe au xxiie siècle. À cette époque, l’auteur imagine que toute l’humanité est concentrée dans quelques villes et que dès que l’on en est sorti il n’y a plus que la campagne. Les terres sont exploitées par une seule grande compagnie qui emploie des ouvriers logés en ville et qui se rendent tous les jours sur place pour les cultiver pour le compte de la grande entreprise.

Une jeune fille de bonne famille tombe amoureuse d’un employé d’une plateforme aérienne, ce qui pour son père n’est pas un assez bon parti pour elle. Il décide donc de la faire hypnotiser pour qu’elle l’oublie et qu’elle aime celui qu’il lui destine. Du jour au lendemain l’employé ne voit plus la jeune femme et ne sait pas comment la retrouver. Il finit par la voir par hasard et elle ne le reconnait pas. Il ne voit alors qu’une seule solution pour l’oublier : il décide de se faire hypnotiser. C’est alors qu’il se rend compte que le médecin est celui-là même qui a transformé son amie. Il l’oblige alors à lui rendre son état normal et les deux jeunes amoureux décident de braver le père de la jeune fille et de fuir vivre à la campagne dans un hameau abandonné depuis des années.

Les premiers jours sont idylliques mais lorsque survient un orage et que des chiens errants les menacent ils ont peur, et le lendemain ils retournent en ville. Ils empruntent alors sur l’héritage qu’a laissé sa mère à la jeune fille. Elle ne doit le toucher que dans 3 ans lorsqu’elle aura 21 ans. À ce moment ils se rendent compte qu’ils ont vécu au-dessus de leurs moyens et que les intérêts qu’ils avaient acceptés étaient bien trop importants. Ils sont alors obligés de diminuer leur train de vie. Ils déménagent alors dans un appartement d’un étage en dessous (à cette époque l’auteur imagine que l’ensemble de la ville habite dans de très hautes tours et comme elles sont trop serrées, les pauvres sont logés en bas dans des appartements très obscurs). Ils doivent aussi essayer de trouver un travail et mettent à la crèche leur jeune enfant.

Entre-temps ils ont dépensé leurs dernières ressources et n’ont plus d’autre solution que de s’adresser à une entreprise dont le rôle est de donner du travail à tous de manière qu’il n’y ait pas de pauvres. Un tiers de la ville travaille pour elle et en échange ils sont logés (dans des appartements minuscules), habillés d’un uniforme bleu et nourris. Ils ne touchent en plus qu’une somme ridicule et deviennent donc, comme tous les employés de ces entreprises des espèces d’esclaves « volontaires » qui n’ont aucune perspective d’avenir.

Pour ne pas être battu par ses collègues de travail qui ne supportent pas ses manières de petit employé de la classe moyenne il apprend à se battre et se fait ainsi respecter.

Le père de la jeune fille ne fait rien pour eux, bien qu’il en ait les moyens, il attend qu’ils soient au plus bas de l’échelle pour demander à sa fille de quitter son mari et d’épouser celui qu’il lui destinait.

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Le récit a été écrit à la toute fin du xixe siècle, mais il se passe au xxiie siècle. À cette époque, l’auteur imagine que toute l’humanité est concentrée dans quelques villes et que dès que l’on en est sorti il n’y a plus que la campagne. Les terres sont exploitées par une seule grande compagnie qui emploie des ouvriers logés en ville et qui se rendent tous les jours sur place pour les cultiver pour le compte de la grande entreprise.

Une jeune fille de bonne famille tombe amoureuse d’un employé d’une plateforme aérienne, ce qui pour son père n’est pas un assez bon parti pour elle. Il décide donc de la faire hypnotiser pour qu’elle l’oublie et qu’elle aime celui qu’il lui destine. Du jour au lendemain l’employé ne voit plus la jeune femme et ne sait pas comment la retrouver. Il finit par la voir par hasard et elle ne le reconnait pas. Il ne voit alors qu’une seule solution pour l’oublier : il décide de se faire hypnotiser. C’est alors qu’il se rend compte que le médecin est celui-là même qui a transformé son amie. Il l’oblige alors à lui rendre son état normal et les deux jeunes amoureux décident de braver le père de la jeune fille et de fuir vivre à la campagne dans un hameau abandonné depuis des années.

Les premiers jours sont idylliques mais lorsque survient un orage et que des chiens errants les menacent ils ont peur, et le lendemain ils retournent en ville. Ils empruntent alors sur l’héritage qu’a laissé sa mère à la jeune fille. Elle ne doit le toucher que dans 3 ans lorsqu’elle aura 21 ans. À ce moment ils se rendent compte qu’ils ont vécu au-dessus de leurs moyens et que les intérêts qu’ils avaient acceptés étaient bien trop importants. Ils sont alors obligés de diminuer leur train de vie. Ils déménagent alors dans un appartement d’un étage en dessous (à cette époque l’auteur imagine que l’ensemble de la ville habite dans de très hautes tours et comme elles sont trop serrées, les pauvres sont logés en bas dans des appartements très obscurs). Ils doivent aussi essayer de trouver un travail et mettent à la crèche leur jeune enfant.

Entre-temps ils ont dépensé leurs dernières ressources et n’ont plus d’autre solution que de s’adresser à une entreprise dont le rôle est de donner du travail à tous de manière qu’il n’y ait pas de pauvres. Un tiers de la ville travaille pour elle et en échange ils sont logés (dans des appartements minuscules), habillés d’un uniforme bleu et nourris. Ils ne touchent en plus qu’une somme ridicule et deviennent donc, comme tous les employés de ces entreprises des espèces d’esclaves « volontaires » qui n’ont aucune perspective d’avenir.

Pour ne pas être battu par ses collègues de travail qui ne supportent pas ses manières de petit employé de la classe moyenne il apprend à se battre et se fait ainsi respecter.

Le père de la jeune fille ne fait rien pour eux, bien qu’il en ait les moyens, il attend qu’ils soient au plus bas de l’échelle pour demander à sa fille de quitter son mari et d’épouser celui qu’il lui destinait.

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