Olga Forche a totalement disparu de la mémoire collective, au point qu'il est absolument impossible de trouver une occurrence la concernant sur le moteur de recherche Google. Et lorsque vous aurez lu ce beau livre, vous vous demanderez : pourquoi ?... Cette écrivaine russe n'était pourtant pas une inconnue. C'est elle qui ouvrit le deuxième congrès des écrivains de l'U.R.S.S, en décembre 1954, en tant que doyenne des romanciers soviétiques (50 ans d'activité littéraire). Le présent roman fut réédité près de vingt fois, dans les trente ans qui suivirent sa parution en 1923. Notre espoir est que la présente édition permettra de (re)découvrir cet auteur, de lui (re)donner une petite place dans le panthéon littéraire.
Nous sommes en Russie, en 1923, et un vieillard nous conte son histoire : il va nous révéler son effroyable secret. Dans une très belle prose il nous fait vivre le long et odieux chemin de sa trahison... Il nous entraîne dans les salons frivoles des années 1860, ces salons plein d'esprit et de légèreté, en apparence... Car le drame couve : Serguéi Roussanine dénonce Mikhaïl Beidéman son camarade de l'école militaire, accusé d'idées révolutionnaires, parce qu'ils aiment la même femme, Vera. C'était le temps où «les araignées du régime tsariste suçaient le sang du prolétariat», où les révolutionnaires, les progressistes terminaient leurs vies «Vêtus de Pierre», incarcérés. Incarcération de Mikhaïl mais aussi de Véra et de Serguéi, le narrateur. Serguéi, un vieillard enfermé dans ses remords et libéré par sa folie... Une étonnante histoire décrivant avec justesse les recoins les plus cachés de l'âme humaine, une peinture très réaliste des moeurs des différentes classes sociales de l'époque de Dostoïevski, et enfin une ode à tous ces jeunes révolutionnaires sacrifiés sur l'autel de leurs idéaux.
Édition Ebooks libres et gratuits.
Olga Forche a totalement disparu de la mémoire collective, au point qu'il est absolument impossible de trouver une occurrence la concernant sur le moteur de recherche Google. Et lorsque vous aurez lu ce beau livre, vous vous demanderez : pourquoi ?... Cette écrivaine russe n'était pourtant pas une inconnue. C'est elle qui ouvrit le deuxième congrès des écrivains de l'U.R.S.S, en décembre 1954, en tant que doyenne des romanciers soviétiques (50 ans d'activité littéraire). Le présent roman fut réédité près de vingt fois, dans les trente ans qui suivirent sa parution en 1923. Notre espoir est que la présente édition permettra de (re)découvrir cet auteur, de lui (re)donner une petite place dans le panthéon littéraire.
Nous sommes en Russie, en 1923, et un vieillard nous conte son histoire : il va nous révéler son effroyable secret. Dans une très belle prose il nous fait vivre le long et odieux chemin de sa trahison... Il nous entraîne dans les salons frivoles des années 1860, ces salons plein d'esprit et de légèreté, en apparence... Car le drame couve : Serguéi Roussanine dénonce Mikhaïl Beidéman son camarade de l'école militaire, accusé d'idées révolutionnaires, parce qu'ils aiment la même femme, Vera. C'était le temps où «les araignées du régime tsariste suçaient le sang du prolétariat», où les révolutionnaires, les progressistes terminaient leurs vies «Vêtus de Pierre», incarcérés. Incarcération de Mikhaïl mais aussi de Véra et de Serguéi, le narrateur. Serguéi, un vieillard enfermé dans ses remords et libéré par sa folie... Une étonnante histoire décrivant avec justesse les recoins les plus cachés de l'âme humaine, une peinture très réaliste des moeurs des différentes classes sociales de l'époque de Dostoïevski, et enfin une ode à tous ces jeunes révolutionnaires sacrifiés sur l'autel de leurs idéaux.
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