Les Amorites leur ont donné le nom d’Hébreux qui signifie « ceux qui vont de lieu en lieu » ou nomades. Le Temple de Jérusalem n’est rapporté que par la littérature archaïque juive et les récits bibliques. Ceux-ci relèvent-ils vraiment d’indications historiques ? Quant aux informations des chroniqueurs romains existe-il dans leurs écrits la moindre indication attestant d’un quelconque Temple de Salomon à Jérusalem ? Comme tout mythe fondateur, le Temple de Salomon ne s’inscrit-il pas dans celui de l’idéalisation du Sionisme ? C’est une approche que tente d’analyser cet ouvrage.
Les Amorites leur ont donné le nom d’Hébreux qui signifie « ceux qui vont de lieu en lieu » ou nomades. Le Temple de Jérusalem n’est rapporté que par la littérature archaïque juive et les récits bibliques. Ceux-ci relèvent-ils vraiment d’indications historiques ? Quant aux informations des chroniqueurs romains existe-il dans leurs écrits la moindre indication attestant d’un quelconque Temple de Salomon à Jérusalem ? Comme tout mythe fondateur, le Temple de Salomon ne s’inscrit-il pas dans celui de l’idéalisation du Sionisme ? C’est une approche que tente d’analyser cet ouvrage.