Un propos nuancé : ni diabolisant ni lénifiant
À des degrés divers, nous sommes tous devenus des « dévoreurs d’écrans ». L’auteur part du principe que les usagers des smartphones, tablettes, ordinateurs… sont mus, pour la majorité d’entre eux, par des intentions positives. Aux parents, il donne des repères pour doser le contact avec les écrans en fonction de l’âge, accompagner les premiers surfs sur le Web et sensibiliser les jeunes à la notion d’identité numérique.
Comment éviter les dérives telles que le cyberharcèlement sur les réseaux sociaux ? Pourquoi certaines personnes font-elles un usage excessif des écrans ? Que faire lorsqu’on est confronté à cette situation ? Comment permettre aux plus jeunes de digérer des images violentes qu’ils auraient vues, par exemple, au JT ?
À toutes ces questions, l’ouvrage offre des réponses nuancées qui permettent de prendre du recul sans jamais verser dans la facilité.
Un auteur expérimenté sur le sujet (recherche, enseignement, consultance) et un ouvrage qui s'adresse tant aux parents, étudiants, enseignants, qu'aux professionnels de la relation d’aide
EXTRAIT
Nous sommes tous, à notre façon, devenus des experts en matière d’écrans. Que ce soit dans notre vie privée ou dans notre vie professionnelle, nous avons tous en mémoire des expériences qui peuvent nous aider à penser leurs usages. Il est d’ailleurs probable que la lecture de ce livre vous amène à vous souvenir de certaines de ces expériences. Ce film qui vous a empêché de dormir lorsque vous étiez enfant, ce jeu vidéo qui vous a passionné, cette émission que vous aimez retrouver régulièrement, ce smartphone qui se manifeste trop souvent, cet e-mail qui vous a fait tant plaisir ou encore ce texto que vous avez eu beaucoup de mal à interpréter… Réfléchir aux usages des écrans, c’est avant tout, pour chacun de nous, mobiliser des souvenirs et des émotions.
CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE
- « L’ouvrage offre des réponses nuancées qui permettent de prendre du recul sans jamais verser dans la facilité. » - (L’Observatoire, n°85/2015)
- « Depuis 2008, le chercheur Pascal Minotte étudie l’impact des nouvelles technologies sur le comportement des jeunes et de leurs aînés. Le psychologue propose un panorama nuancé de leurs usages dans Dévoreurs d’écrans. » - (Raphaël Duboisdenghien, Daily Science)
- « Dans ce brillant ouvrage, Pascal Minotte sort des poncifs et autres lieux communs sur les TIC (technologies de l’information et de la communication). Ces outils sont en effet difficiles à appréhender pour certains, mais restent (si bien utilisés) une formidable chance et un formidable outil de démocratisation. A lire ! » (ActuLittéraire)
- « L'intérêt du propos, ici, est d'offrir des informations sérieuses, un questionnement lucide et des conseils éclairés reposant sur des cas concrets, sans pour autant diaboliser "nos appétits numériques"» (Psychologies Magazine)
A PROPOS DE L’AUTEUR
Pascal Minotte est psychologue, psychothérapeute et chercheur. Il est aussi consultant et enseigne la psychosociologie des usages et des pratiques médiatiques.
Un propos nuancé : ni diabolisant ni lénifiant
À des degrés divers, nous sommes tous devenus des « dévoreurs d’écrans ». L’auteur part du principe que les usagers des smartphones, tablettes, ordinateurs… sont mus, pour la majorité d’entre eux, par des intentions positives. Aux parents, il donne des repères pour doser le contact avec les écrans en fonction de l’âge, accompagner les premiers surfs sur le Web et sensibiliser les jeunes à la notion d’identité numérique.
Comment éviter les dérives telles que le cyberharcèlement sur les réseaux sociaux ? Pourquoi certaines personnes font-elles un usage excessif des écrans ? Que faire lorsqu’on est confronté à cette situation ? Comment permettre aux plus jeunes de digérer des images violentes qu’ils auraient vues, par exemple, au JT ?
À toutes ces questions, l’ouvrage offre des réponses nuancées qui permettent de prendre du recul sans jamais verser dans la facilité.
Un auteur expérimenté sur le sujet (recherche, enseignement, consultance) et un ouvrage qui s'adresse tant aux parents, étudiants, enseignants, qu'aux professionnels de la relation d’aide
EXTRAIT
Nous sommes tous, à notre façon, devenus des experts en matière d’écrans. Que ce soit dans notre vie privée ou dans notre vie professionnelle, nous avons tous en mémoire des expériences qui peuvent nous aider à penser leurs usages. Il est d’ailleurs probable que la lecture de ce livre vous amène à vous souvenir de certaines de ces expériences. Ce film qui vous a empêché de dormir lorsque vous étiez enfant, ce jeu vidéo qui vous a passionné, cette émission que vous aimez retrouver régulièrement, ce smartphone qui se manifeste trop souvent, cet e-mail qui vous a fait tant plaisir ou encore ce texto que vous avez eu beaucoup de mal à interpréter… Réfléchir aux usages des écrans, c’est avant tout, pour chacun de nous, mobiliser des souvenirs et des émotions.
CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE
- « L’ouvrage offre des réponses nuancées qui permettent de prendre du recul sans jamais verser dans la facilité. » - (L’Observatoire, n°85/2015)
- « Depuis 2008, le chercheur Pascal Minotte étudie l’impact des nouvelles technologies sur le comportement des jeunes et de leurs aînés. Le psychologue propose un panorama nuancé de leurs usages dans Dévoreurs d’écrans. » - (Raphaël Duboisdenghien, Daily Science)
- « Dans ce brillant ouvrage, Pascal Minotte sort des poncifs et autres lieux communs sur les TIC (technologies de l’information et de la communication). Ces outils sont en effet difficiles à appréhender pour certains, mais restent (si bien utilisés) une formidable chance et un formidable outil de démocratisation. A lire ! » (ActuLittéraire)
- « L'intérêt du propos, ici, est d'offrir des informations sérieuses, un questionnement lucide et des conseils éclairés reposant sur des cas concrets, sans pour autant diaboliser "nos appétits numériques"» (Psychologies Magazine)
A PROPOS DE L’AUTEUR
Pascal Minotte est psychologue, psychothérapeute et chercheur. Il est aussi consultant et enseigne la psychosociologie des usages et des pratiques médiatiques.