Étude des impacts psychologiques provoqués par le travail du deuil.
La psychologie du deuil est un champ de la psychologie en constante évolution. Classiquement, on dit que les personnes endeuillées passent par une série d’étapes ou de stades de deuil, que le « travail de deuil » consiste essentiellement en une confrontation à la réalité de la mort, aux pensées et sentiments liés au défunt ou encore que, pour « faire son deuil », il faut forcément exprimer ses émotions et se détacher du défunt. La résolution ou la récupération serait à ce prix-là.
Une autre idée communément admise est que l’évitement des pensées et sentiments ou l’absence de réactions de deuil est un signe de pathologie. Les développements récents de la recherche ont amené à une remise en cause de ces conceptions classiques.
Par ailleurs, il existe actuellement des débats entre le développement d’une vision psychiatrique du deuil d’une part et de l’autre une vision mettant en avant la résilience et la croissance personnelle que les personnes en deuil peuvent démontrer. Ces débats reflètent deux positions tranchées sur les processus et réactions de deuil, l’une normalisante, l’autre plus individuelle.
Destiné aux professionnels, cet ouvrage liste différentes pathologies de la santé mentale occasionnées par la mort d'un proche et propose une approche thérapeutique pour surmonter cette épreuve.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Emmanuelle Zech est Docteure en psychologie. Elle enseigne la psychologie clinique et la psychologie de la santé à l’Université catholique de Louvain. Elle a également une pratique de consultations en psychologie clinique.
Étude des impacts psychologiques provoqués par le travail du deuil.
La psychologie du deuil est un champ de la psychologie en constante évolution. Classiquement, on dit que les personnes endeuillées passent par une série d’étapes ou de stades de deuil, que le « travail de deuil » consiste essentiellement en une confrontation à la réalité de la mort, aux pensées et sentiments liés au défunt ou encore que, pour « faire son deuil », il faut forcément exprimer ses émotions et se détacher du défunt. La résolution ou la récupération serait à ce prix-là.
Une autre idée communément admise est que l’évitement des pensées et sentiments ou l’absence de réactions de deuil est un signe de pathologie. Les développements récents de la recherche ont amené à une remise en cause de ces conceptions classiques.
Par ailleurs, il existe actuellement des débats entre le développement d’une vision psychiatrique du deuil d’une part et de l’autre une vision mettant en avant la résilience et la croissance personnelle que les personnes en deuil peuvent démontrer. Ces débats reflètent deux positions tranchées sur les processus et réactions de deuil, l’une normalisante, l’autre plus individuelle.
Destiné aux professionnels, cet ouvrage liste différentes pathologies de la santé mentale occasionnées par la mort d'un proche et propose une approche thérapeutique pour surmonter cette épreuve.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Emmanuelle Zech est Docteure en psychologie. Elle enseigne la psychologie clinique et la psychologie de la santé à l’Université catholique de Louvain. Elle a également une pratique de consultations en psychologie clinique.