Author: | Théophile Gautier | ISBN: | 1230001711035 |
Publisher: | PRB | Publication: | June 9, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Théophile Gautier |
ISBN: | 1230001711035 |
Publisher: | PRB |
Publication: | June 9, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
Fortunio est un roman de l'écrivain français Théophile Gautier (1811 – 1872).
Ce livre numérique présente l'édition intégrale et comporte une table des matières dynamique. Il est parfaitement mise en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Résumé :
Fortunio, "un fils de l'Orient", s'est fait en plein Paris un paradis de pourpre, d'or, de pierreries, de lumières, où il échappe à la civilisation, et où il est servi par des esclaves plus belles que le jour ». Ses retards et ses absences intriguent le comte George, un dandy, et Musidora, « la belle aux yeux vert de mer »…
Extrait :
George donnait à souper à ses amis, non pas à tous, car il en avait bien deux ou trois mille, mais seulement à quelques lions et à quelques tigres de sa ménagerie intime.
Les soupers de George avaient une célébrité d’élégance joyeuse et de sensualité délicate qui faisait regarder comme une bonne fortune d’y être invité ; mais cette faveur était difficilement accordée, et bien peu de noms pouvaient se vanter d’être inscrits habituellement sur la bienheureuse liste. Il fallait être grand clerc en fait de belle vie, éprouvé au feu et à l’eau, pour être admis dans le sanctuaire...
Fortunio est un roman de l'écrivain français Théophile Gautier (1811 – 1872).
Ce livre numérique présente l'édition intégrale et comporte une table des matières dynamique. Il est parfaitement mise en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Résumé :
Fortunio, "un fils de l'Orient", s'est fait en plein Paris un paradis de pourpre, d'or, de pierreries, de lumières, où il échappe à la civilisation, et où il est servi par des esclaves plus belles que le jour ». Ses retards et ses absences intriguent le comte George, un dandy, et Musidora, « la belle aux yeux vert de mer »…
Extrait :
George donnait à souper à ses amis, non pas à tous, car il en avait bien deux ou trois mille, mais seulement à quelques lions et à quelques tigres de sa ménagerie intime.
Les soupers de George avaient une célébrité d’élégance joyeuse et de sensualité délicate qui faisait regarder comme une bonne fortune d’y être invité ; mais cette faveur était difficilement accordée, et bien peu de noms pouvaient se vanter d’être inscrits habituellement sur la bienheureuse liste. Il fallait être grand clerc en fait de belle vie, éprouvé au feu et à l’eau, pour être admis dans le sanctuaire...