Author: | Paul Féval | ISBN: | 1230000259869 |
Publisher: | Largau | Publication: | August 12, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Paul Féval |
ISBN: | 1230000259869 |
Publisher: | Largau |
Publication: | August 12, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Il était dix heures du soir...
Peut-être dix heures un quart, mais pas plus.
Du côté droit, le ciel était sombre ; du côté gauche, on voyait à l'horizon une lueur dont l'origine est un mystère.
Ce n'était pas la lune, la lune est bien connue. Les aurores boréales sont rares dans nos climats, et le Vésuve est situé en d'autres contrées.
Qu'était-ce ?...
Trois hommes suivaient en silence le trottoir de la rue de Sévigné et marchaient un à un. C'était des inconnus !
On le voyait à leurs chaussons de lisière et aussi à la précaution qu'ils prenaient d'éviter les sergents de ville.
La rue de Sévigné, centre d'un quartier populeux, ne présentait pas alors, le caractère de propreté qu'elle affecte aujourd'hui ; les trottoirs étaient étroits, le pavé inégal ; on lui reprochait aussi d'être mal éclairée, et son ruisseau répandait des odeurs particulières, où l'on démêlait aisément le sang et les larmes...
Un fiacre passa. Le Rémouleur imita le sifflement des merles ; le Joueur d'orgue et le Cocher échangèrent un signe rapide.
C'était Mustapha.
Il prononça quatre mots seulement :
- Ce soir ! Silvio Pellico !
Au moment même où la onzième heure sonnait à l'horloge Carnavalet, une femme jeune encore, à la physionomie ravagée, mais pleine de fraîcheur, entr'ouvrit sans bruit sa fenêtre, située au troisième étage de la Maison du Repris de justice.
Il était dix heures du soir...
Peut-être dix heures un quart, mais pas plus.
Du côté droit, le ciel était sombre ; du côté gauche, on voyait à l'horizon une lueur dont l'origine est un mystère.
Ce n'était pas la lune, la lune est bien connue. Les aurores boréales sont rares dans nos climats, et le Vésuve est situé en d'autres contrées.
Qu'était-ce ?...
Trois hommes suivaient en silence le trottoir de la rue de Sévigné et marchaient un à un. C'était des inconnus !
On le voyait à leurs chaussons de lisière et aussi à la précaution qu'ils prenaient d'éviter les sergents de ville.
La rue de Sévigné, centre d'un quartier populeux, ne présentait pas alors, le caractère de propreté qu'elle affecte aujourd'hui ; les trottoirs étaient étroits, le pavé inégal ; on lui reprochait aussi d'être mal éclairée, et son ruisseau répandait des odeurs particulières, où l'on démêlait aisément le sang et les larmes...
Un fiacre passa. Le Rémouleur imita le sifflement des merles ; le Joueur d'orgue et le Cocher échangèrent un signe rapide.
C'était Mustapha.
Il prononça quatre mots seulement :
- Ce soir ! Silvio Pellico !
Au moment même où la onzième heure sonnait à l'horloge Carnavalet, une femme jeune encore, à la physionomie ravagée, mais pleine de fraîcheur, entr'ouvrit sans bruit sa fenêtre, située au troisième étage de la Maison du Repris de justice.
Pour connaître la suite, achetez ce merveilleux roman de Paul Féval
Il était dix heures du soir...
Peut-être dix heures un quart, mais pas plus.
Du côté droit, le ciel était sombre ; du côté gauche, on voyait à l'horizon une lueur dont l'origine est un mystère.
Ce n'était pas la lune, la lune est bien connue. Les aurores boréales sont rares dans nos climats, et le Vésuve est situé en d'autres contrées.
Qu'était-ce ?...
Trois hommes suivaient en silence le trottoir de la rue de Sévigné et marchaient un à un. C'était des inconnus !
On le voyait à leurs chaussons de lisière et aussi à la précaution qu'ils prenaient d'éviter les sergents de ville.
La rue de Sévigné, centre d'un quartier populeux, ne présentait pas alors, le caractère de propreté qu'elle affecte aujourd'hui ; les trottoirs étaient étroits, le pavé inégal ; on lui reprochait aussi d'être mal éclairée, et son ruisseau répandait des odeurs particulières, où l'on démêlait aisément le sang et les larmes...
Un fiacre passa. Le Rémouleur imita le sifflement des merles ; le Joueur d'orgue et le Cocher échangèrent un signe rapide.
C'était Mustapha.
Il prononça quatre mots seulement :
- Ce soir ! Silvio Pellico !
Au moment même où la onzième heure sonnait à l'horloge Carnavalet, une femme jeune encore, à la physionomie ravagée, mais pleine de fraîcheur, entr'ouvrit sans bruit sa fenêtre, située au troisième étage de la Maison du Repris de justice.
Il était dix heures du soir...
Peut-être dix heures un quart, mais pas plus.
Du côté droit, le ciel était sombre ; du côté gauche, on voyait à l'horizon une lueur dont l'origine est un mystère.
Ce n'était pas la lune, la lune est bien connue. Les aurores boréales sont rares dans nos climats, et le Vésuve est situé en d'autres contrées.
Qu'était-ce ?...
Trois hommes suivaient en silence le trottoir de la rue de Sévigné et marchaient un à un. C'était des inconnus !
On le voyait à leurs chaussons de lisière et aussi à la précaution qu'ils prenaient d'éviter les sergents de ville.
La rue de Sévigné, centre d'un quartier populeux, ne présentait pas alors, le caractère de propreté qu'elle affecte aujourd'hui ; les trottoirs étaient étroits, le pavé inégal ; on lui reprochait aussi d'être mal éclairée, et son ruisseau répandait des odeurs particulières, où l'on démêlait aisément le sang et les larmes...
Un fiacre passa. Le Rémouleur imita le sifflement des merles ; le Joueur d'orgue et le Cocher échangèrent un signe rapide.
C'était Mustapha.
Il prononça quatre mots seulement :
- Ce soir ! Silvio Pellico !
Au moment même où la onzième heure sonnait à l'horloge Carnavalet, une femme jeune encore, à la physionomie ravagée, mais pleine de fraîcheur, entr'ouvrit sans bruit sa fenêtre, située au troisième étage de la Maison du Repris de justice.
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