Contre-vérités, idées reçues, stéréotypes… L’euthanasie et, plus largement, l’accompagnement de la fin de vie, en sont accablés au quotidien.
Que cache cette violence à l’égard de voies ouvertes avant tout pour soulager la souffrance ? La peur, sans doute, face à cet épisode de vie si particulier. Une part d’incompréhension, certainement.
C’est le besoin de partager une expérience de plus de trente ans en la matière qui a donné naissance à cet ouvrage. Le docteur Philippe Lebecq raconte les histoires vécues au chevet de ses patients en fin de vie, dans le respect absolu de la liberté de ceux qui souffrent. Ces tranches de vie illustrent à quel point l’écoute, l’accompagnement, le respect, l’éthique et la compassion sont au cœur de cette pratique de la médecine.
Car c’est au soignant de s’ajuster à celui qui adresse la demande de soulager sa souffrance, jusque dans la mort. Une fin de vie accompagnée peut être belle, heureuse et assumée, c’est le message que nous adresse Philippe Lebecq à travers ces pages lumineuses.
Découvrez ce témoignage poignant d'un médecin qui travaille chaque jour à accompagner ses patients en fin de vie !
EXTRAIT
Mars 2006. 23 heures.
— Docteur, c’est la maman de Renaud. Je crois que mon fils va mourir bientôt.
— J’arrive !
Que répondre d’autre ?
Renaud a vingt-cinq ans. Il s’est présenté à mon cabinet pour la première fois il y a quelques mois. Simple prise de contact au cas où il aurait besoin de moi plus tard. À ce moment-là, il était soigné dans un hôpital universitaire pour un cancer de l’estomac.
Avant cette première visite, sa maman m’avait expliqué la situation. Longtemps, son généraliste avait traité Renaud à l’aveuglette pour des douleurs gastriques dont il se plaignait périodiquement. Sa maman, secrétaire dans un service de cancérologie, avait insisté pour qu’il subisse une gastroscopie, qui avait révélé le triste diagnostic.
Contre-vérités, idées reçues, stéréotypes… L’euthanasie et, plus largement, l’accompagnement de la fin de vie, en sont accablés au quotidien.
Que cache cette violence à l’égard de voies ouvertes avant tout pour soulager la souffrance ? La peur, sans doute, face à cet épisode de vie si particulier. Une part d’incompréhension, certainement.
C’est le besoin de partager une expérience de plus de trente ans en la matière qui a donné naissance à cet ouvrage. Le docteur Philippe Lebecq raconte les histoires vécues au chevet de ses patients en fin de vie, dans le respect absolu de la liberté de ceux qui souffrent. Ces tranches de vie illustrent à quel point l’écoute, l’accompagnement, le respect, l’éthique et la compassion sont au cœur de cette pratique de la médecine.
Car c’est au soignant de s’ajuster à celui qui adresse la demande de soulager sa souffrance, jusque dans la mort. Une fin de vie accompagnée peut être belle, heureuse et assumée, c’est le message que nous adresse Philippe Lebecq à travers ces pages lumineuses.
Découvrez ce témoignage poignant d'un médecin qui travaille chaque jour à accompagner ses patients en fin de vie !
EXTRAIT
Mars 2006. 23 heures.
— Docteur, c’est la maman de Renaud. Je crois que mon fils va mourir bientôt.
— J’arrive !
Que répondre d’autre ?
Renaud a vingt-cinq ans. Il s’est présenté à mon cabinet pour la première fois il y a quelques mois. Simple prise de contact au cas où il aurait besoin de moi plus tard. À ce moment-là, il était soigné dans un hôpital universitaire pour un cancer de l’estomac.
Avant cette première visite, sa maman m’avait expliqué la situation. Longtemps, son généraliste avait traité Renaud à l’aveuglette pour des douleurs gastriques dont il se plaignait périodiquement. Sa maman, secrétaire dans un service de cancérologie, avait insisté pour qu’il subisse une gastroscopie, qui avait révélé le triste diagnostic.