Author: | Jules Verne | ISBN: | 1230003024409 |
Publisher: | Paris, 1875 | Publication: | January 8, 2019 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Jules Verne |
ISBN: | 1230003024409 |
Publisher: | Paris, 1875 |
Publication: | January 8, 2019 |
Imprint: | |
Language: | French |
Faisant voile de Charleston en Caroline du Sud à Liverpool avec vingt-huit personnes à bord et une cargaison de coton américain, le Chancellor suit une direction qui inquiète ses passagers et suscite des doutes sur la santé mentale du capitaine. Un incendie se déclare dans la cargaison et fait rage pendant plusieurs jours avant de s’éteindre à la faveur d’une tempête. Mais le navire s’échoue sur un îlot basaltique et le second, Robert Kurtis, qui a pris le commandement, procède à des réparations en espérant remettre le navire à flot et atteindre la Guyane. Malheureusement, le Chancellor fait eau de toutes parts et la chaloupe a été détruite lors d’une tempête précédente. L’ex-capitaine, un passager et trois matelots s’enfuient alors à bord d’une baleinière, abandonnant leurs compagnons qui construisent un radeau. Ils ne sont plus que dix-huit lorsqu’ils abandonnent le navire. Les vivres et l’eau sont sévèrement rationnés, une tempête fait de nouvelles victimes. Trois mois après le départ de Charleston, les passagers du radeau à la dérive ignorent tout de leur position et les vivres commencent à manquer. Un des survivants prend quelques poissons avec les seuls appâts dont ils disposent : des lambeaux de chair humaine, mais l’expérience s’arrête là et, lorsqu’un des survivants se suicide, une partie de l’équipage se livre au cannibalisme. Plusieurs naufragés sombrent dans la folie et, en désespoir de cause, les autres doivent se résigner à tirer au sort celui d’entre eux qui sera mangé.
Faisant voile de Charleston en Caroline du Sud à Liverpool avec vingt-huit personnes à bord et une cargaison de coton américain, le Chancellor suit une direction qui inquiète ses passagers et suscite des doutes sur la santé mentale du capitaine. Un incendie se déclare dans la cargaison et fait rage pendant plusieurs jours avant de s’éteindre à la faveur d’une tempête. Mais le navire s’échoue sur un îlot basaltique et le second, Robert Kurtis, qui a pris le commandement, procède à des réparations en espérant remettre le navire à flot et atteindre la Guyane. Malheureusement, le Chancellor fait eau de toutes parts et la chaloupe a été détruite lors d’une tempête précédente. L’ex-capitaine, un passager et trois matelots s’enfuient alors à bord d’une baleinière, abandonnant leurs compagnons qui construisent un radeau. Ils ne sont plus que dix-huit lorsqu’ils abandonnent le navire. Les vivres et l’eau sont sévèrement rationnés, une tempête fait de nouvelles victimes. Trois mois après le départ de Charleston, les passagers du radeau à la dérive ignorent tout de leur position et les vivres commencent à manquer. Un des survivants prend quelques poissons avec les seuls appâts dont ils disposent : des lambeaux de chair humaine, mais l’expérience s’arrête là et, lorsqu’un des survivants se suicide, une partie de l’équipage se livre au cannibalisme. Plusieurs naufragés sombrent dans la folie et, en désespoir de cause, les autres doivent se résigner à tirer au sort celui d’entre eux qui sera mangé.