Author: | Raphaël et Olivier Saint-Vincent, Michel Onfray | ISBN: | 9791090338111 |
Publisher: | Kinoscript | Publication: | December 15, 2011 |
Imprint: | Kinoscript | Language: | French |
Author: | Raphaël et Olivier Saint-Vincent, Michel Onfray |
ISBN: | 9791090338111 |
Publisher: | Kinoscript |
Publication: | December 15, 2011 |
Imprint: | Kinoscript |
Language: | French |
Ce texte s’origine dans le désir de rendre la philosophie populaire. Populaire parce qu’elle touche à de vraies questions. L’amour, la mort, le désir, le politique, l’éducation, le sexe. Ou le suicide. Et non à des interrogations pour spécialistes, luxueuses, spécieuses, universitaires. Populaire aussi parce qu’il s’agit de « mettre la philosophie dans la rue », selon l’expression des auteurs. Pas la rue des politiciens. Mais celle de ceux qui y vivent, qui y sont, tous les jours, à toutes heures ; la rue de cette population urbaine condamnée à œuvrer pour sauver sa peau, à besogner pour se procurer une âme. Et qui, à force d’entendre des murmures de voix futiles et fallacieuses se payer leurs têtes, ont fini par se détourner du fondamental. La rue du malfrat.
D’où la création d’une nouvelle figure, en contre à ce nihilisme pérenne et chronique. Celle du philosophe-voyou. Figure de l’oxymore, capable seule d’obvier à cette situation.
Alliage entre deux figures de l’opposition : le philosophe pour l’abstrait, et le voyou pour le sensible. Synthèse soumettant la thèse suivante aux lecteurs : le mal n’est pas mauvais, il permet même d’atteindre la vertu.
Afin de projeter ces concepts sur la scène humaine, il fallait donc une forme sanguine, du premier degré. Un style polémique et sincère. De l’attaque et de l’offense. Il fallait un pamphlet. Pour introduire ainsi le combat en philosophie en même temps que la philosophie dans le monde de la cogne.
Voici le philosophe-voyou – disciple renégat de Michel Onfray et de l’hédonisme – qui vous propose un art de vivre le quotidien dans le plaisir et la souffrance, pour le meilleur et pour le pire.
2e édition, enrichie des réponses aux objections de Michel Onfray
Ce texte s’origine dans le désir de rendre la philosophie populaire. Populaire parce qu’elle touche à de vraies questions. L’amour, la mort, le désir, le politique, l’éducation, le sexe. Ou le suicide. Et non à des interrogations pour spécialistes, luxueuses, spécieuses, universitaires. Populaire aussi parce qu’il s’agit de « mettre la philosophie dans la rue », selon l’expression des auteurs. Pas la rue des politiciens. Mais celle de ceux qui y vivent, qui y sont, tous les jours, à toutes heures ; la rue de cette population urbaine condamnée à œuvrer pour sauver sa peau, à besogner pour se procurer une âme. Et qui, à force d’entendre des murmures de voix futiles et fallacieuses se payer leurs têtes, ont fini par se détourner du fondamental. La rue du malfrat.
D’où la création d’une nouvelle figure, en contre à ce nihilisme pérenne et chronique. Celle du philosophe-voyou. Figure de l’oxymore, capable seule d’obvier à cette situation.
Alliage entre deux figures de l’opposition : le philosophe pour l’abstrait, et le voyou pour le sensible. Synthèse soumettant la thèse suivante aux lecteurs : le mal n’est pas mauvais, il permet même d’atteindre la vertu.
Afin de projeter ces concepts sur la scène humaine, il fallait donc une forme sanguine, du premier degré. Un style polémique et sincère. De l’attaque et de l’offense. Il fallait un pamphlet. Pour introduire ainsi le combat en philosophie en même temps que la philosophie dans le monde de la cogne.
Voici le philosophe-voyou – disciple renégat de Michel Onfray et de l’hédonisme – qui vous propose un art de vivre le quotidien dans le plaisir et la souffrance, pour le meilleur et pour le pire.
2e édition, enrichie des réponses aux objections de Michel Onfray