Author: | Jean de La Brète | ISBN: | 1230001755916 |
Publisher: | Nourrit | Publication: | July 8, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Jean de La Brète |
ISBN: | 1230001755916 |
Publisher: | Nourrit |
Publication: | July 8, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
Geneviève rentre chez elle en sortant du couvent. Son père, âgé et de santé fragile, souhaite la marier, pour ne pas la laisser seule, sans protection et sans fortune. Il lui présente Louis d’Onelle, un homme « bien sous tous rapports ».
Les deux jeunes gens se marient et partent en voyage de noces.
À leur retour, Geneviève, très amoureuse, découvre un mari froid et autoritaire, qui semble s’intéresser surtout à la chasse et à quelques amis.
Elle se demande quels sont les motifs de cette indifférence pour sa femme, jeune, belle et désireuse de lui plaire. Pourtant, un jour, il se montre gai et charmant. Il vient de recevoir une lettre d’une amie d’enfance, qui lui annonce sa prochaine arrivée.
Elle est mariée, oui, mais…
Geneviève est mariée à Louis d'Onelle, un homme froid qui ne l'aime pas. Elle redouble d'efforts : rien n'y fait, il préfère les blondes. Heureusement que sa vieille Phine, Mr de Marien et un vieux couple sont là pour l'aider moralement. Puis il y a la naissance de sa fille, Gilberte, la lumière de son coeur.
Après avoir lu cet athée furibond de Nietzsche, me revoilà plongé dans la France croyante de la même époque. Ce roman d'amour écrit par Alice Cherbonnel de son vrai nom, est très bien écrit, du point de vue du style et de l'analyse psychologique. le passage où Geneviève, délaissée et trompée, résiste au charmant de Marien, me rappelle La princesse de Clèves.
La maison d'enfance de Geneviève, qu'elle appelle "Pastel" nous fournit des passages attendrissants.
Mr D'Onelle symbolise l'ennui des nobles de l'époque. Il me fait penser à Vronski dans "Anna Karénine".
Geneviève rentre chez elle en sortant du couvent. Son père, âgé et de santé fragile, souhaite la marier, pour ne pas la laisser seule, sans protection et sans fortune. Il lui présente Louis d’Onelle, un homme « bien sous tous rapports ».
Les deux jeunes gens se marient et partent en voyage de noces.
À leur retour, Geneviève, très amoureuse, découvre un mari froid et autoritaire, qui semble s’intéresser surtout à la chasse et à quelques amis.
Elle se demande quels sont les motifs de cette indifférence pour sa femme, jeune, belle et désireuse de lui plaire. Pourtant, un jour, il se montre gai et charmant. Il vient de recevoir une lettre d’une amie d’enfance, qui lui annonce sa prochaine arrivée.
Elle est mariée, oui, mais…
Geneviève est mariée à Louis d'Onelle, un homme froid qui ne l'aime pas. Elle redouble d'efforts : rien n'y fait, il préfère les blondes. Heureusement que sa vieille Phine, Mr de Marien et un vieux couple sont là pour l'aider moralement. Puis il y a la naissance de sa fille, Gilberte, la lumière de son coeur.
Après avoir lu cet athée furibond de Nietzsche, me revoilà plongé dans la France croyante de la même époque. Ce roman d'amour écrit par Alice Cherbonnel de son vrai nom, est très bien écrit, du point de vue du style et de l'analyse psychologique. le passage où Geneviève, délaissée et trompée, résiste au charmant de Marien, me rappelle La princesse de Clèves.
La maison d'enfance de Geneviève, qu'elle appelle "Pastel" nous fournit des passages attendrissants.
Mr D'Onelle symbolise l'ennui des nobles de l'époque. Il me fait penser à Vronski dans "Anna Karénine".