Author: | Charles Baudelaire | ISBN: | 1230001721584 |
Publisher: | Poulet-Malassis et de Broise | Publication: | June 16, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Charles Baudelaire |
ISBN: | 1230001721584 |
Publisher: | Poulet-Malassis et de Broise |
Publication: | June 16, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
Les Fleurs du mal est le titre d'un recueil de poèmes en vers de Charles Baudelaire, englobant la quasi-totalité de sa production poétique, de 1840 jusqu'à sa mort survenue fin août 1867.
Publié le 25 juin 1857, le livre fait scandale et suscite un procès retentissant qui entraîne la censure de 6 pièces. Il est réédité, dans des versions différentes, en 1861, 1866 puis 1868. La réhabilitation n'intervient qu'en 1949.
C'est l’une des œuvres majeures de la poésie moderne. Ses 163 pièces rompent avec le style convenu, en usage jusqu'alors. Elles rajeunissent la structure du vers par l'usage régulier d'enjambements, de rejets et de contre-rejets. Elles rénovent la forme rigide du sonnet. Elles utilisent d'inédites associations d'images, tel l'« Ange cruel qui fouette des soleils » (Le Voyage). Elles mêlent langage savant et parler quotidien.
Les Fleurs du mal diffèrent d'un recueil classique, où les poèmes ne sont souvent réunis que par l'effet du hasard. Elles sont assemblées selon un dessein précis pour chanter, avec une sincérité absolue :
la souffrance d'ici-bas (conçue comme une conséquence de la finitude humaine et une nécessaire expiation, selon une conception toute chrétienne) ;
le dégoût du mal (et souvent de soi-même) ;
l'obsession de la mort ;
l'aspiration à un monde idéal, accessible par de mystérieuses correspondances.
Nourries de sensations physiques que la mémoire restitue avec acuité, elles sont empreintes d’une nouvelle esthétique où l'art poétique juxtapose la palette mouvante des sentiments humains et la vision lucide d'une réalité souvent crue – voire triviale – à la plus ineffable beauté. Elles exerceront une influence considérable sur des poètes ultérieurs aussi éminents que Paul Verlaine, Arthur Rimbaud et Stéphane Mallarmé.
Historique - Genèse (dès 1841)
Spleen et idéal
I - Bénédiction
II - L’albatros
III - Élévation
IV - Correspondances
V - J'aime le souvenir de ces époques nues
VI - Les phares
VII - La muse malade
VIII - La muse vénale
IX - Le mauvais moine
X - L’ennemi
XI - Le guignon
XII - La vie antérieure
XIII - Bohémiens en voyage
XIV - L’homme et la mer
XV - Don Juan aux enfers
XVI - Châtiment de l’orgueil
XVII - La beauté
XVIII - L’idéal
XIX - La géante
XX - Le masque
XXI - Hymne à la beauté
XXII - Parfum exotique
XXIII - La chevelure
XXIV - Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne
XXV - Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle
XXVI - Sed non satiata
XXVII - Avec ses vêtements ondoyants et nacrés
XXVIII - Le serpent qui danse
XXIX - Une charogne
XXX - De profundis clamavi
XXXI - Le vampire
XXXII - Une nuit que j’étais près d'une affreuse Juive
XXXIII - Remords posthume
XXXIV - Le chat
XXXV - Duellum
XXXVI - Le balcon
XXXVII - Le possédé
XXXVIII - Un fantôme
I - Les ténèbres
II - Le parfum
III - Le cadre
IV - Le portrait
XXXIX - Je te donne ces vers afin que si mon nom
XL - Semper eadem
XLI - Tout entière
XLII - Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire
XLIII - Le flambeau vivant
XLIV - Réversibilité
XLV - Confession
XLVI - L’aube spirituelle
XLVII - Harmonie du soir
XLVIII - Le flacon
XLIX - Le poison
L - Ciel brouillé
LI - Le chat
LII - Le beau navire
LIII - L’invitation au voyage
LIV - L’irréparable
LV - Causerie
LVI - Chant d’automne
LVII - À une madone
LVIII - Chanson d’après-midi
LIX - Sisina
LX - Franciscæ meæ laudes
LXI - À une dame créole
LXII - Mœsta et errabunda
LXIII - Le revenant
LXIV - Sonnet d’automne
LXV - Tristesses de la lune
LXVI - Les chats
LXVII - Les hiboux
LXVIII - La pipe
LXIX - La musique
LXX - Sépulture
LXXI - Une gravure fantastique
LXXII - Le mort joyeux
LXXIII - Le tonneau de la haine
LXXIV - La cloche fêlée
LXXV - Spleen
LXXVI - Spleen
LXXVII - Spleen
LXXVIII - Spleen
LXXIX - Obsession
LXXX - Le goût du néant
LXXXI - Alchimie de la douleur
LXXXII - Horreur sympathique
LXXXIII - L’héautontimorouménos
LXXXIV - L’irremédiable
LXXXV - L’horloge
Tableaux parisiens
LXXXVI - Paysage
LXXXVII - Le soleil
LXXXVIII - À une mendiante rousse
LXXXIX - Le cygne
XC - Les sept vieillards
XCI - Les petites vieilles
XCII - Les aveugles
XCIII - À une passante
XCIV - Le squelette laboureur
XCV - Le crépuscule du soir
XCVI - Le jeu
XCVII - Danse macabre
XCVIII - L’amour du mensonge
XCIX - Je n'ai pas oublié, voisine de la ville
C - La servante au grand cœur dont vous étiez jalouse
CI - Brumes et pluies
CII - Rêve parisien
CIII - Le crépuscule du matin
Le Vin
CIV - L’âme du vin
CV - Le vin des chiffonniers
CVI - Le vin de l’assassin
CVII - Le vin du solitaire
CVIII - Le vin des amants
Fleurs du mal
CIX - La destruction
CX - Une martyre
CXI - Femmes damnées
CXII - Les deux bonnes sœurs
CXIII - La fontaine de sang
CXIV - Allégorie
CXV - La Béatrice
CXVI - Un voyage à Cythère
CXVII - L’amour et le crâne
Révolte
CXVIII - Le reniement de Saint Pierre
CXIX - Abel et Caïn
CXX - Les litanies de Satan
La Mort
CXXI - La mort des amants
CXXII - La mort des pauvres
CXXIII - La mort des artistes
CXXIV - La fin de la journée
CXXV - Le rêve d’un curieux
CXXVI - Le voyage
Les Fleurs du mal est le titre d'un recueil de poèmes en vers de Charles Baudelaire, englobant la quasi-totalité de sa production poétique, de 1840 jusqu'à sa mort survenue fin août 1867.
Publié le 25 juin 1857, le livre fait scandale et suscite un procès retentissant qui entraîne la censure de 6 pièces. Il est réédité, dans des versions différentes, en 1861, 1866 puis 1868. La réhabilitation n'intervient qu'en 1949.
C'est l’une des œuvres majeures de la poésie moderne. Ses 163 pièces rompent avec le style convenu, en usage jusqu'alors. Elles rajeunissent la structure du vers par l'usage régulier d'enjambements, de rejets et de contre-rejets. Elles rénovent la forme rigide du sonnet. Elles utilisent d'inédites associations d'images, tel l'« Ange cruel qui fouette des soleils » (Le Voyage). Elles mêlent langage savant et parler quotidien.
Les Fleurs du mal diffèrent d'un recueil classique, où les poèmes ne sont souvent réunis que par l'effet du hasard. Elles sont assemblées selon un dessein précis pour chanter, avec une sincérité absolue :
la souffrance d'ici-bas (conçue comme une conséquence de la finitude humaine et une nécessaire expiation, selon une conception toute chrétienne) ;
le dégoût du mal (et souvent de soi-même) ;
l'obsession de la mort ;
l'aspiration à un monde idéal, accessible par de mystérieuses correspondances.
Nourries de sensations physiques que la mémoire restitue avec acuité, elles sont empreintes d’une nouvelle esthétique où l'art poétique juxtapose la palette mouvante des sentiments humains et la vision lucide d'une réalité souvent crue – voire triviale – à la plus ineffable beauté. Elles exerceront une influence considérable sur des poètes ultérieurs aussi éminents que Paul Verlaine, Arthur Rimbaud et Stéphane Mallarmé.
Historique - Genèse (dès 1841)
Spleen et idéal
I - Bénédiction
II - L’albatros
III - Élévation
IV - Correspondances
V - J'aime le souvenir de ces époques nues
VI - Les phares
VII - La muse malade
VIII - La muse vénale
IX - Le mauvais moine
X - L’ennemi
XI - Le guignon
XII - La vie antérieure
XIII - Bohémiens en voyage
XIV - L’homme et la mer
XV - Don Juan aux enfers
XVI - Châtiment de l’orgueil
XVII - La beauté
XVIII - L’idéal
XIX - La géante
XX - Le masque
XXI - Hymne à la beauté
XXII - Parfum exotique
XXIII - La chevelure
XXIV - Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne
XXV - Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle
XXVI - Sed non satiata
XXVII - Avec ses vêtements ondoyants et nacrés
XXVIII - Le serpent qui danse
XXIX - Une charogne
XXX - De profundis clamavi
XXXI - Le vampire
XXXII - Une nuit que j’étais près d'une affreuse Juive
XXXIII - Remords posthume
XXXIV - Le chat
XXXV - Duellum
XXXVI - Le balcon
XXXVII - Le possédé
XXXVIII - Un fantôme
I - Les ténèbres
II - Le parfum
III - Le cadre
IV - Le portrait
XXXIX - Je te donne ces vers afin que si mon nom
XL - Semper eadem
XLI - Tout entière
XLII - Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire
XLIII - Le flambeau vivant
XLIV - Réversibilité
XLV - Confession
XLVI - L’aube spirituelle
XLVII - Harmonie du soir
XLVIII - Le flacon
XLIX - Le poison
L - Ciel brouillé
LI - Le chat
LII - Le beau navire
LIII - L’invitation au voyage
LIV - L’irréparable
LV - Causerie
LVI - Chant d’automne
LVII - À une madone
LVIII - Chanson d’après-midi
LIX - Sisina
LX - Franciscæ meæ laudes
LXI - À une dame créole
LXII - Mœsta et errabunda
LXIII - Le revenant
LXIV - Sonnet d’automne
LXV - Tristesses de la lune
LXVI - Les chats
LXVII - Les hiboux
LXVIII - La pipe
LXIX - La musique
LXX - Sépulture
LXXI - Une gravure fantastique
LXXII - Le mort joyeux
LXXIII - Le tonneau de la haine
LXXIV - La cloche fêlée
LXXV - Spleen
LXXVI - Spleen
LXXVII - Spleen
LXXVIII - Spleen
LXXIX - Obsession
LXXX - Le goût du néant
LXXXI - Alchimie de la douleur
LXXXII - Horreur sympathique
LXXXIII - L’héautontimorouménos
LXXXIV - L’irremédiable
LXXXV - L’horloge
Tableaux parisiens
LXXXVI - Paysage
LXXXVII - Le soleil
LXXXVIII - À une mendiante rousse
LXXXIX - Le cygne
XC - Les sept vieillards
XCI - Les petites vieilles
XCII - Les aveugles
XCIII - À une passante
XCIV - Le squelette laboureur
XCV - Le crépuscule du soir
XCVI - Le jeu
XCVII - Danse macabre
XCVIII - L’amour du mensonge
XCIX - Je n'ai pas oublié, voisine de la ville
C - La servante au grand cœur dont vous étiez jalouse
CI - Brumes et pluies
CII - Rêve parisien
CIII - Le crépuscule du matin
Le Vin
CIV - L’âme du vin
CV - Le vin des chiffonniers
CVI - Le vin de l’assassin
CVII - Le vin du solitaire
CVIII - Le vin des amants
Fleurs du mal
CIX - La destruction
CX - Une martyre
CXI - Femmes damnées
CXII - Les deux bonnes sœurs
CXIII - La fontaine de sang
CXIV - Allégorie
CXV - La Béatrice
CXVI - Un voyage à Cythère
CXVII - L’amour et le crâne
Révolte
CXVIII - Le reniement de Saint Pierre
CXIX - Abel et Caïn
CXX - Les litanies de Satan
La Mort
CXXI - La mort des amants
CXXII - La mort des pauvres
CXXIII - La mort des artistes
CXXIV - La fin de la journée
CXXV - Le rêve d’un curieux
CXXVI - Le voyage