Les plus grandes découvertes scientifiques qui n'auraient jamais dû voir le jour !
Saviez-vous qu’une observation astronomique d’un très sérieux père jésuite est à l’origine de la croyance en l’existence d’extraterrestres ? Saviez-vous que, déjà au XVIIe siècle, des médecins ont tenté de réaliser des transfusions sanguines pour soigner des maladies mentales, et cela, en utilisant du sang de chien ou de mouton ? La « mémoire de l’eau », la « fusion froide », la « formule du benzène », la « fureur lobotomiste » sont autant d’affaires extraordinaires à propos desquelles les scientifiques ont mené des recherches hasardeuses qui ont donné lieu à de grandes inepties et à de grossiers mensonges.
Des récits, présentés comme de véritables enquêtes policières, qui nous apprennent que même les plus savants des hommes peuvent se tromper ou dissimuler la vérité.
Les récits passionnants des « erreurs scientifiques » et leurs conséquences inattendues !
EXTRAIT :
La science est vérifiable mais elle n’a pas réponse à tout. Il existe d’autres discours, qui ont une réponse à toutes nos questions. Mais ces discours à prétention de vérité universelle ne sont pas vérifiables !
Ce n’est pas une boutade. Ce n’est pas une petite phrase, prononcée pour faire passer le temps ou pour égayer l’atmosphère, au comptoir, en buvant un petit blanc ou en dégustant son café noir avec un cube de saccharose cristallisé. C’est, très exactement, et très tragiquement, la situation de l’intelligence en ce début de siècle, également partagée (paraît-il, mais est-ce vérifiable ?) entre presque sept milliards de représentants (mâles et femelles) d’une espèce vivante que les zoologistes du XIXe siècle, gens fort optimistes à l’époque, ont baptisée, évidemment en latin, Homo sapiens, l’homme sage, raisonnable, prudent, judicieux. Car le français propose plusieurs traductions de sapiens, qui a la même racine que sapidus, ce qui signifie « qui a de la saveur, du goût ». Mais l’Homo sapidus ne concerne que les anthropophages.
Rassurez-vous, je ne vais pas vous parler des horreurs du cannibalisme. Mais, quand même, je vous entretiendrai de quelques erreurs-horreurs. En soi, elles ne sont peut-être pas bien tragiques, ne dit-on pas, en latin, errare humanum est, l’erreur est humaine ? Mais justement, de l’erreur à l’illusion, il n’y a qu’un pas, et ce pas nous conduit tout droit vers les horreurs, le mot n’est hélas pas trop fort, du « bourrage des crânes », de l’intolérance et du fanatisme. Non, ce n’était pas une simple boutade ! Il y a cette situation ultra-tragique, qui est la nôtre, celle de presque sept milliards d’hommes et de femmes généralement fort mal armés pour s’en rendre compte, cette situation que d’un côté il y a la science, la pensée réfléchie et prudente, dont les propositions sont vérifiables, mais qui hélas ne répond pas à toutes les questions qui hantent l’humanité, et que de l’autre côté il y a de nombreuses idéologies, religions, superstitions et constructions mythiques qui ont réponse à tout, définitivement, dogmatiquement, et pour les siècles des siècles.
Les plus grandes découvertes scientifiques qui n'auraient jamais dû voir le jour !
Saviez-vous qu’une observation astronomique d’un très sérieux père jésuite est à l’origine de la croyance en l’existence d’extraterrestres ? Saviez-vous que, déjà au XVIIe siècle, des médecins ont tenté de réaliser des transfusions sanguines pour soigner des maladies mentales, et cela, en utilisant du sang de chien ou de mouton ? La « mémoire de l’eau », la « fusion froide », la « formule du benzène », la « fureur lobotomiste » sont autant d’affaires extraordinaires à propos desquelles les scientifiques ont mené des recherches hasardeuses qui ont donné lieu à de grandes inepties et à de grossiers mensonges.
Des récits, présentés comme de véritables enquêtes policières, qui nous apprennent que même les plus savants des hommes peuvent se tromper ou dissimuler la vérité.
Les récits passionnants des « erreurs scientifiques » et leurs conséquences inattendues !
EXTRAIT :
La science est vérifiable mais elle n’a pas réponse à tout. Il existe d’autres discours, qui ont une réponse à toutes nos questions. Mais ces discours à prétention de vérité universelle ne sont pas vérifiables !
Ce n’est pas une boutade. Ce n’est pas une petite phrase, prononcée pour faire passer le temps ou pour égayer l’atmosphère, au comptoir, en buvant un petit blanc ou en dégustant son café noir avec un cube de saccharose cristallisé. C’est, très exactement, et très tragiquement, la situation de l’intelligence en ce début de siècle, également partagée (paraît-il, mais est-ce vérifiable ?) entre presque sept milliards de représentants (mâles et femelles) d’une espèce vivante que les zoologistes du XIXe siècle, gens fort optimistes à l’époque, ont baptisée, évidemment en latin, Homo sapiens, l’homme sage, raisonnable, prudent, judicieux. Car le français propose plusieurs traductions de sapiens, qui a la même racine que sapidus, ce qui signifie « qui a de la saveur, du goût ». Mais l’Homo sapidus ne concerne que les anthropophages.
Rassurez-vous, je ne vais pas vous parler des horreurs du cannibalisme. Mais, quand même, je vous entretiendrai de quelques erreurs-horreurs. En soi, elles ne sont peut-être pas bien tragiques, ne dit-on pas, en latin, errare humanum est, l’erreur est humaine ? Mais justement, de l’erreur à l’illusion, il n’y a qu’un pas, et ce pas nous conduit tout droit vers les horreurs, le mot n’est hélas pas trop fort, du « bourrage des crânes », de l’intolérance et du fanatisme. Non, ce n’était pas une simple boutade ! Il y a cette situation ultra-tragique, qui est la nôtre, celle de presque sept milliards d’hommes et de femmes généralement fort mal armés pour s’en rendre compte, cette situation que d’un côté il y a la science, la pensée réfléchie et prudente, dont les propositions sont vérifiables, mais qui hélas ne répond pas à toutes les questions qui hantent l’humanité, et que de l’autre côté il y a de nombreuses idéologies, religions, superstitions et constructions mythiques qui ont réponse à tout, définitivement, dogmatiquement, et pour les siècles des siècles.