Author: | Frédéric Bastiat | ISBN: | 1230000144435 |
Publisher: | Vassade | Publication: | June 21, 2013 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Frédéric Bastiat |
ISBN: | 1230000144435 |
Publisher: | Vassade |
Publication: | June 21, 2013 |
Imprint: | |
Language: | French |
Ce livre est parfaitement mis en page pour une lecture sur Kobo.
Dans un style très direct, les pamphlets de Frédéric Bastiat manient les comparaisons pédagogiques et les fables satiriques. Ils débusquent les principaux mythes ou sophismes entretenus autour de l'État (cette grande fiction à travers laquelle tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde), du socialisme (la spoliation légale), de la richesse (le profit de l'un est le profit de l'autre), de la solidarité (il m'est tout à fait impossible de concevoir la Fraternité légalement forcée, sans que la Liberté soit légalement détruite, et la Justice légalement foulée aux pieds), de l'impôt, de l'interventionnisme, etc. Il sait également rédiger des pamphlets ou conduire la polémique, en particulier contre Proudhon avec lequel il entretient une controverse durant 13 semaines dans le journal La voix du peuple.
La satire la plus célèbre de Bastiat (qui vise le protectionnisme) est sa pétition au Parlement français de la part des fabricants de chandelles, qui demandent à être protégés « de la compétition ruineuse d'un rival étranger », qui leur livre une concurrence déloyale en fournissant sa lumière à des prix trop bas (ce fournisseur est... le soleil !). Cette pétition s'achève par la demande d'une « loi qui ordonne la fermeture de toutes fenêtres, lucarnes, (…) par lesquelles la lumière du soleil a coutume de pénétrer dans les maisons ».
Concernant le libre-échange, il défend le libre-échange réciproquement choisi et montre également comment il est plus intéressant de pratiquer le libre-échange, même face à des pays protectionnistes. Toute protection est spoliatrice pour Bastiat, alors qu'à l'inverse le libre-échange permet un effet multiplicateur de richesses.
Ce livre est parfaitement mis en page pour une lecture sur Kobo.
Dans un style très direct, les pamphlets de Frédéric Bastiat manient les comparaisons pédagogiques et les fables satiriques. Ils débusquent les principaux mythes ou sophismes entretenus autour de l'État (cette grande fiction à travers laquelle tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde), du socialisme (la spoliation légale), de la richesse (le profit de l'un est le profit de l'autre), de la solidarité (il m'est tout à fait impossible de concevoir la Fraternité légalement forcée, sans que la Liberté soit légalement détruite, et la Justice légalement foulée aux pieds), de l'impôt, de l'interventionnisme, etc. Il sait également rédiger des pamphlets ou conduire la polémique, en particulier contre Proudhon avec lequel il entretient une controverse durant 13 semaines dans le journal La voix du peuple.
La satire la plus célèbre de Bastiat (qui vise le protectionnisme) est sa pétition au Parlement français de la part des fabricants de chandelles, qui demandent à être protégés « de la compétition ruineuse d'un rival étranger », qui leur livre une concurrence déloyale en fournissant sa lumière à des prix trop bas (ce fournisseur est... le soleil !). Cette pétition s'achève par la demande d'une « loi qui ordonne la fermeture de toutes fenêtres, lucarnes, (…) par lesquelles la lumière du soleil a coutume de pénétrer dans les maisons ».
Concernant le libre-échange, il défend le libre-échange réciproquement choisi et montre également comment il est plus intéressant de pratiquer le libre-échange, même face à des pays protectionnistes. Toute protection est spoliatrice pour Bastiat, alors qu'à l'inverse le libre-échange permet un effet multiplicateur de richesses.