Author: | Nila KAZAR | ISBN: | 9791095895046 |
Publisher: | ITIL éditions | Publication: | November 23, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Nila KAZAR |
ISBN: | 9791095895046 |
Publisher: | ITIL éditions |
Publication: | November 23, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
Le livre :
Laura, jeune romancière au caractère bien trempé, rencontre Duncan, auteur célèbre et vieillissant, atteint d’une maladie rare. Il lui demande de l’aider à se documenter pour un projet de livre. Cela tombe bien, elle est en panne dans son nouveau roman. Un lien ambigu se tisse entre les deux écrivains, entre le désir et son empêchement, entre la création et ses entraves. Alors qu’ils séjournent ensemble à l’étranger, par la grâce d’une rencontre amoureuse, Laura s’affranchit des exigences de plus en plus abusives de Duncan. Mais jusqu’où ce diable d’homme est-il capable d’aller ?
Élégant dans la forme et audacieux dans le fond, Platonik s’empare d’un thème orphelin en littérature pour le renouveler à travers deux personnages formidablement incarnés.
L’auteur :
Nila Kazar, romancière et nouvelliste, travaille dans l’édition et enseigne à l’université la création littéraire et l’écriture de scénario. Elle tient le blog Bazar Kazar – Y a-t-il une vie après l’édition ? Déjà paru aux mêmes éditions : Sauvée par Shakespeare, nouvelles.
Daniel Arsand (éditeur et écrivain, Prix Femina) :
« J’ai lu ton roman que j’ai beaucoup aimé. Je pense qu’on n’a jamais abordé les relations hommes-femmes de cette manière, avec cette lucidité réjouissante. Et le personnage de Duncan nous dit beaucoup sur la relation qu’a tout homme avec son sexe. Et comment la difficulté de baiser peut affecter la création. Mais la relation à la jouissance, au désir, au sexe, à soi-même donc, chez une femme, tu le dépèces avec une rare intelligence. Et c’est remarquablement écrit. Tu as fait un livre très ténébreux et très solaire en même temps. C’est toujours un bonheur pour moi de lire un vrai écrivain. »
Extrait :
Ne prononce pas ce mot à la légère. Et d’ailleurs, ne le prononce jamais devant moi ! Si tu ne peux absolument pas l’éviter, tu utiliseras un autre mot. Que dirais-tu d’un terme de typographie ? Parangonnage, par exemple : dans sa forme grave, cette maladie peut mener au « parangonnage », ça m’irait très bien. L’« esperluette » du malade est coudée, elle forme un certain angle et il ne peut plus l’introduire dans « l’alinea » de la femme.
Avis de lecteur :
« Il est inconvenant de manier la plume avec autant d’élégance, de finesse, de justesse, d’émotion et d’humour. »
L'intégralité de cette chronique remarquable sur le blog de Jean-Christophe Heckers >>>
https://quasiallegretto.wordpress.com/2018/04/10/inter-s-t-ex-t-ualite-a-propos-de-platonik/
Le livre :
Laura, jeune romancière au caractère bien trempé, rencontre Duncan, auteur célèbre et vieillissant, atteint d’une maladie rare. Il lui demande de l’aider à se documenter pour un projet de livre. Cela tombe bien, elle est en panne dans son nouveau roman. Un lien ambigu se tisse entre les deux écrivains, entre le désir et son empêchement, entre la création et ses entraves. Alors qu’ils séjournent ensemble à l’étranger, par la grâce d’une rencontre amoureuse, Laura s’affranchit des exigences de plus en plus abusives de Duncan. Mais jusqu’où ce diable d’homme est-il capable d’aller ?
Élégant dans la forme et audacieux dans le fond, Platonik s’empare d’un thème orphelin en littérature pour le renouveler à travers deux personnages formidablement incarnés.
L’auteur :
Nila Kazar, romancière et nouvelliste, travaille dans l’édition et enseigne à l’université la création littéraire et l’écriture de scénario. Elle tient le blog Bazar Kazar – Y a-t-il une vie après l’édition ? Déjà paru aux mêmes éditions : Sauvée par Shakespeare, nouvelles.
Daniel Arsand (éditeur et écrivain, Prix Femina) :
« J’ai lu ton roman que j’ai beaucoup aimé. Je pense qu’on n’a jamais abordé les relations hommes-femmes de cette manière, avec cette lucidité réjouissante. Et le personnage de Duncan nous dit beaucoup sur la relation qu’a tout homme avec son sexe. Et comment la difficulté de baiser peut affecter la création. Mais la relation à la jouissance, au désir, au sexe, à soi-même donc, chez une femme, tu le dépèces avec une rare intelligence. Et c’est remarquablement écrit. Tu as fait un livre très ténébreux et très solaire en même temps. C’est toujours un bonheur pour moi de lire un vrai écrivain. »
Extrait :
Ne prononce pas ce mot à la légère. Et d’ailleurs, ne le prononce jamais devant moi ! Si tu ne peux absolument pas l’éviter, tu utiliseras un autre mot. Que dirais-tu d’un terme de typographie ? Parangonnage, par exemple : dans sa forme grave, cette maladie peut mener au « parangonnage », ça m’irait très bien. L’« esperluette » du malade est coudée, elle forme un certain angle et il ne peut plus l’introduire dans « l’alinea » de la femme.
Avis de lecteur :
« Il est inconvenant de manier la plume avec autant d’élégance, de finesse, de justesse, d’émotion et d’humour. »
L'intégralité de cette chronique remarquable sur le blog de Jean-Christophe Heckers >>>
https://quasiallegretto.wordpress.com/2018/04/10/inter-s-t-ex-t-ualite-a-propos-de-platonik/