Souvenirs d’un enfant de Paris
( Edition intégrale ) 4 Tomes - annoté
Biography & Memoir, Philosophers, Reference, Fiction & Literature, Literary Theory & Criticism
| Author: | Emile Bergerat | ISBN: | 1230003022757 |
| Publisher: | Paris : Bibliothèque-Charpentier, E. Fasquelle, 1911-1913 | Publication: | January 7, 2019 |
| Imprint: | Language: | French |
| Author: | Emile Bergerat |
| ISBN: | 1230003022757 |
| Publisher: | Paris : Bibliothèque-Charpentier, E. Fasquelle, 1911-1913 |
| Publication: | January 7, 2019 |
| Imprint: | |
| Language: | French |
Déférant à des scrupules de famille auxquels je suis plus sensible que personne, j’ai volontiers retranché de cette nouvelle édition deux chapitres des premières. Il ne m’était point d’ailleurs malaisé de les remplacer, au gré des lecteurs, par deux autres inédits, d’intérêt équivalent au moins, s’il en est dans ces « Souvenirs » d’un homme qui n’a jamais été et voulu être qu’un artiste.
Il est peut-être impossible, au plus optimiste même, d’écrire ses Mémoires, non seulement sans mentir, mais en mentant, et le genre se condamne, par l’erreur philosophique de sa recherche. Il met le réel dans la convention de l’histoire, il extrait l’homme de la figure reçue, il le « déconsacre » pour ainsi dire, de telle sorte que plus le mémorialiste est sincère, plus il nuit à cette sainte illusion de la vie sans laquelle le plus courageux ne resterait pas une heure sur la terre.
Reste cette lâcheté de ne causer que d’outre-tombe, avec la voix posthume des revenants, auxquels il n’y a plus qu’amen à répondre. Je n’aime guère ce bruit de chaînes au fond du corridor. Il n’a jamais guidé personne dans la recherche du trésor de la vérité, d’abord parce qu’il n’y a pas de trésor de la vérité, et ensuite, parce que la langue que parlent ces fantômes n’est déjà plus entendue par les nouveaux coureurs de torches.
Alors ?
Alors le mieux est, je crois, de suivre le convoi de son temps en sonnant sa sonnette, le moins mélancoliquement possible et son vieux bouquet à la boutonnière.
Souvenirs d’un enfant de Paris
AVERTISSEMENTDE LA NOUVELLE ÉDITION
PREMIÈRE PARTIE
I MON V. H.
II HISTOIRE D’UN DÉBUT LITTÉRAIRE EN 1865À LA COMÉDIE-FRANÇAISE
III MENTON EN 1867
IV FRANCISQUE SARCEY
V HISTOIRE D’UN ÉDITEUR CÉLÈBRE
VI PÉGASE
VII COQUELIN
VIII CHEZ LES PEINTRES
IX LA MARE AUX CANARDS
X MA CANTATE
XI ALPHONSE DAUDET
XII UN BIFTECK AUX POMMES
XIII FRITZ KÆMMERER
XIV VILLEMESSANT ET BOURDIN
XV UN MODÈLE
XVI UN BILLET BLEU
XVII LAROCHELLE
XVIII MON « ANCH’IO SON PITTORE » !
XIX L’ÉCOLE BRUTALE
DEUXIÈME PARTIE
I1870-71
II « LES CUIRASSIERS DE REICHSHOFFEN »
III LE FLINGOT
IV « LE MAÎTRE D’ÉCOLE »
V L’AMBULANCE DU THÉÂTRE-FRANÇAIS
VI FAMINE
VII CROCODILE
VIII LES CINQ MILLIARDS
IX L’ALSACE-LORRAINE
X PENDANT LA COMMUNE
XI MA FUGUE
XII À ROSEBOIS
XIII LES INCENDIES
XIV LA DÉPÊCHE DE DOMBROWSKI
XVI AU « BIEN PUBLIC »
XVII L’HÉRITAGE
TROISIÈME PARTIE
I LA PREMIÈRE RENCONTRE
II THÉOPHILE GAUTIER
III LA MAISON DE NEUILLY
IV ZOÉ LANGUE DE CÔ
V LES CHOSES DE L’AU-DELÀ
VI BIBLIOPHILIE
VII LA COLLECTION
VIII À TABLE
IX À SAINT-GRATIEN
X LE DERNIER DÉJEUNER
XI LE CHINOIS DE GAUTIER
XII LA DAME AUX YEUX DE VIOLETTE
XIII RODOLPHO
XIV LE « THÉÂTRE » DE THÉOPHILE GAUTIER
XV LES CARCASSIERS
XVI ÉMILE ZOLA CHEZ THÉOPHILE GAUTIER
XVII « LE PREMIER AMANT »
XVIII LA FAMILLE GRISI
XIX LA RÉCONCILIATION
XX LE MARIAGE
LES COMPAGNONS D’ARMES
I L’EMMÉNAGEMENT
II DEUX MOIS DE FÉRULE
III SOUVENIRS SUR « L’ARLÉSIENNE »
IV ARMAND SILVESTRE
V PAUL ARÈNE
VI LÉON CLADEL
VII ALBERT GLATIGNY
ATAVISME
I PAUCA MEÆ
II GRAND’MÈRE
CHEZ VICTOR HUGO
I PREMIER DÎNER CHEZ VICTOR HUGO
II AUTRE DÎNER CHEZ VICTOR HUGO
GISELLE
I LA CHAMBRE DE GISELLE
II À GENÈVE
III LA DAME AUX YEUX DE VIOLETTE
TROIS MAÎTRES ÈS LETTRES
I ÉMILE AUGIER
II L’HOMME MODERNEALEXANDRE DUMAS FILS
III GUSTAVE FLAUBERT
LE PARNASSE
I LES THÉS SANS THÉ DE L’HOMME QUI BÊCHE
II ANATOLE FRANCE
CRITIQUE D’ART
I LA CHANCE
II LES CATALOGUES
III CATALOGUEDE LA VENTE D’IVAN TOURGUENEFF
IV LA FONTAINE DES GABOURETS
LE BOULEVARDET LES BOULEVARDIERS
I LE BOULEVARDISME
II L’HEURE VERTE AU TORTONI
III QUELQUES BOULEVARDIERS :GUSTAVE CLAUDIN
IV QUELQUES BOULEVARDIERS :ARMAND GOUZIEN
V QUELQUES BOULEVARDIERS :FÉLICIEN ROPS
VI QUELQUES BOULEVARDIERS :CHARLES MONSELET
VII QUELQUES BOULEVARDIERS :JULES VALLÈS
VIII QUELQUES BOULEVARDIERS :BACHAUMONT
IX QUELQUES BOULEVARDIERS :PAULIN-MÉNIER
X LES LOUTONS
DEUX BEAUX PEINTRES
I JEAN-JACQUES HENNER
II PAUL BAUDRY
DEUX GRANDES HÉTAÏRES
I LA PAÏVA
II MADAME MUSARD
PRÉFACE DE L’ESCAUT À L’AMSTELET DE RUBENS À REMBRANDT
LETTRES BELGES ET NÉERLANDAISES Lettre I
Lettre II
Lettre III
Lettre IV
Lettre V
Lettre VI
Lettre VII UNE JOURNÉE À HARLEM
Lettre VIII TROIS VISITES À LA RONDE DE NUIT
« LA VIE MODERNE »
I HISTOIRE D’UN JOURNAL ILLUSTRÉ
II ANTONIN
III L’ACTE DE SOCIÉTÉ
IV DANIEL VIERGE
V UNE FÊTE À L’HIPPODROME
VI L’ALPHABET DE FORAIN
VII LA SOUPE À L’OIGNON
VIII LA CHASSE AUX ACTIONNAIRES
IX LA VISITE À GAMBETTA
X LES OBSÈQUES DE GUSTAVE FLAUBERT
QUATRE TÊTESDE PEINTRES ANGLAIS
I LE PORTRAIT DU PRINCE DE GALLES
II LE PHOQUE
III LE MAÎTRE DE LA MORT
IV FREDERIC LEIGHTON
V ALMA-TADEMA
AU VOLTAIRE
I L’HOMME MASQUÉ
II MES PSEUDONYMES
III HISTOIRE D’UN « CLOU »
IV LES DÉBUTS D’AUGUSTE RODIN
V UNE PAGE DE PROSE DORÉE
VI ÉMILIE GAUTIER
VII UN DOCUMENT LITTÉRAIRE
LE NOM
IGENÈSE DE LA PIÈCE
II CHARLES DE LA ROUNAT
III REFONTES
IV RÉPÉTITIONS
V GÉNÉRALE ET PREMIÈREADOLPHE DUPUIS
VI NÉOLOGISMES
VII COUTEAUX À PAPIER
HENRY BECQUE
I
II
III
HERMINIE
I
II UN POÈME EN PROSEDE THÉODORE DE BANVILLE
III UNE LECTURE CHEZ SARCEY
JOURNALISME
I CALIBAN
II FRANCIS MAGNARD
III
IV TROIS MILLIONS POUR UN ARTICLE
V DEUX PREMIÈRES EN QUATRE JOURS
LA NUIT BERGAMASQUE
I
II HISTOIRE D’UNE INDEMNITÉFORFAITAIRE
III AU THÉÂTRE LIBRE
IV PRÉFACE DE « LA NUIT BERGAMASQUE »
ENGUERRANDE
I GENÈSE DU POÈME
II UNE PRÉFACE FAMEUSE
PAR LES RUES ET LES CAFÉS
UN MYSTÈRE À LA FOIRE
LES DESSOUS DE LA TUNIQUE
VÉNUS NOIRE ET VÉNUS DE CIRE
MOLIÈRE ET LE MASQUE DE FER
I LE VRAI MOLIÈRE
II LE PRÉCURSEUR DU SYMBOLISME
SIX SEMAINES EN CORSE (1887) LE TOUR DE L’ÎLE EN CALÈCHE
LE MOUFLON DE SARTÈNE
LE PRINCE ROLAND
LE PARFUM DE L’ÎLE
AJACCIO. — LA CASA BONAPARTE
CHEZ LES BANDITS
UNE ÉLECTION
VIZZAVONA, VIVARIO, CORTE
CORTE
LA SCALA DI SANTA REGINA
DE CORTE À BASTIA
BASTIA
SAINT-FLORENT, ISOLA ROSSA, L’ALGAJOLA
CALVI ET LA BALAGNE
CARGÈSE
SARTÈNE ET BONIFACIO
LE CAPITAINE FRACASSE
I
JOURS ODÉONIENS
II UNE LETTRE RETROUVÉE
III UNE RÉPÉTITION À LA COMÉDIE-FRANÇAISE
SCÈNE I
SCÈNE II
SCÈNE III
SCÈNE IV
SCÈNE V
SCÈNE VI
SCÈNE VII ET DERNIÈRE
Déférant à des scrupules de famille auxquels je suis plus sensible que personne, j’ai volontiers retranché de cette nouvelle édition deux chapitres des premières. Il ne m’était point d’ailleurs malaisé de les remplacer, au gré des lecteurs, par deux autres inédits, d’intérêt équivalent au moins, s’il en est dans ces « Souvenirs » d’un homme qui n’a jamais été et voulu être qu’un artiste.
Il est peut-être impossible, au plus optimiste même, d’écrire ses Mémoires, non seulement sans mentir, mais en mentant, et le genre se condamne, par l’erreur philosophique de sa recherche. Il met le réel dans la convention de l’histoire, il extrait l’homme de la figure reçue, il le « déconsacre » pour ainsi dire, de telle sorte que plus le mémorialiste est sincère, plus il nuit à cette sainte illusion de la vie sans laquelle le plus courageux ne resterait pas une heure sur la terre.
Reste cette lâcheté de ne causer que d’outre-tombe, avec la voix posthume des revenants, auxquels il n’y a plus qu’amen à répondre. Je n’aime guère ce bruit de chaînes au fond du corridor. Il n’a jamais guidé personne dans la recherche du trésor de la vérité, d’abord parce qu’il n’y a pas de trésor de la vérité, et ensuite, parce que la langue que parlent ces fantômes n’est déjà plus entendue par les nouveaux coureurs de torches.
Alors ?
Alors le mieux est, je crois, de suivre le convoi de son temps en sonnant sa sonnette, le moins mélancoliquement possible et son vieux bouquet à la boutonnière.
Souvenirs d’un enfant de Paris
AVERTISSEMENTDE LA NOUVELLE ÉDITION
PREMIÈRE PARTIE
I MON V. H.
II HISTOIRE D’UN DÉBUT LITTÉRAIRE EN 1865À LA COMÉDIE-FRANÇAISE
III MENTON EN 1867
IV FRANCISQUE SARCEY
V HISTOIRE D’UN ÉDITEUR CÉLÈBRE
VI PÉGASE
VII COQUELIN
VIII CHEZ LES PEINTRES
IX LA MARE AUX CANARDS
X MA CANTATE
XI ALPHONSE DAUDET
XII UN BIFTECK AUX POMMES
XIII FRITZ KÆMMERER
XIV VILLEMESSANT ET BOURDIN
XV UN MODÈLE
XVI UN BILLET BLEU
XVII LAROCHELLE
XVIII MON « ANCH’IO SON PITTORE » !
XIX L’ÉCOLE BRUTALE
DEUXIÈME PARTIE
I1870-71
II « LES CUIRASSIERS DE REICHSHOFFEN »
III LE FLINGOT
IV « LE MAÎTRE D’ÉCOLE »
V L’AMBULANCE DU THÉÂTRE-FRANÇAIS
VI FAMINE
VII CROCODILE
VIII LES CINQ MILLIARDS
IX L’ALSACE-LORRAINE
X PENDANT LA COMMUNE
XI MA FUGUE
XII À ROSEBOIS
XIII LES INCENDIES
XIV LA DÉPÊCHE DE DOMBROWSKI
XVI AU « BIEN PUBLIC »
XVII L’HÉRITAGE
TROISIÈME PARTIE
I LA PREMIÈRE RENCONTRE
II THÉOPHILE GAUTIER
III LA MAISON DE NEUILLY
IV ZOÉ LANGUE DE CÔ
V LES CHOSES DE L’AU-DELÀ
VI BIBLIOPHILIE
VII LA COLLECTION
VIII À TABLE
IX À SAINT-GRATIEN
X LE DERNIER DÉJEUNER
XI LE CHINOIS DE GAUTIER
XII LA DAME AUX YEUX DE VIOLETTE
XIII RODOLPHO
XIV LE « THÉÂTRE » DE THÉOPHILE GAUTIER
XV LES CARCASSIERS
XVI ÉMILE ZOLA CHEZ THÉOPHILE GAUTIER
XVII « LE PREMIER AMANT »
XVIII LA FAMILLE GRISI
XIX LA RÉCONCILIATION
XX LE MARIAGE
LES COMPAGNONS D’ARMES
I L’EMMÉNAGEMENT
II DEUX MOIS DE FÉRULE
III SOUVENIRS SUR « L’ARLÉSIENNE »
IV ARMAND SILVESTRE
V PAUL ARÈNE
VI LÉON CLADEL
VII ALBERT GLATIGNY
ATAVISME
I PAUCA MEÆ
II GRAND’MÈRE
CHEZ VICTOR HUGO
I PREMIER DÎNER CHEZ VICTOR HUGO
II AUTRE DÎNER CHEZ VICTOR HUGO
GISELLE
I LA CHAMBRE DE GISELLE
II À GENÈVE
III LA DAME AUX YEUX DE VIOLETTE
TROIS MAÎTRES ÈS LETTRES
I ÉMILE AUGIER
II L’HOMME MODERNEALEXANDRE DUMAS FILS
III GUSTAVE FLAUBERT
LE PARNASSE
I LES THÉS SANS THÉ DE L’HOMME QUI BÊCHE
II ANATOLE FRANCE
CRITIQUE D’ART
I LA CHANCE
II LES CATALOGUES
III CATALOGUEDE LA VENTE D’IVAN TOURGUENEFF
IV LA FONTAINE DES GABOURETS
LE BOULEVARDET LES BOULEVARDIERS
I LE BOULEVARDISME
II L’HEURE VERTE AU TORTONI
III QUELQUES BOULEVARDIERS :GUSTAVE CLAUDIN
IV QUELQUES BOULEVARDIERS :ARMAND GOUZIEN
V QUELQUES BOULEVARDIERS :FÉLICIEN ROPS
VI QUELQUES BOULEVARDIERS :CHARLES MONSELET
VII QUELQUES BOULEVARDIERS :JULES VALLÈS
VIII QUELQUES BOULEVARDIERS :BACHAUMONT
IX QUELQUES BOULEVARDIERS :PAULIN-MÉNIER
X LES LOUTONS
DEUX BEAUX PEINTRES
I JEAN-JACQUES HENNER
II PAUL BAUDRY
DEUX GRANDES HÉTAÏRES
I LA PAÏVA
II MADAME MUSARD
PRÉFACE DE L’ESCAUT À L’AMSTELET DE RUBENS À REMBRANDT
LETTRES BELGES ET NÉERLANDAISES Lettre I
Lettre II
Lettre III
Lettre IV
Lettre V
Lettre VI
Lettre VII UNE JOURNÉE À HARLEM
Lettre VIII TROIS VISITES À LA RONDE DE NUIT
« LA VIE MODERNE »
I HISTOIRE D’UN JOURNAL ILLUSTRÉ
II ANTONIN
III L’ACTE DE SOCIÉTÉ
IV DANIEL VIERGE
V UNE FÊTE À L’HIPPODROME
VI L’ALPHABET DE FORAIN
VII LA SOUPE À L’OIGNON
VIII LA CHASSE AUX ACTIONNAIRES
IX LA VISITE À GAMBETTA
X LES OBSÈQUES DE GUSTAVE FLAUBERT
QUATRE TÊTESDE PEINTRES ANGLAIS
I LE PORTRAIT DU PRINCE DE GALLES
II LE PHOQUE
III LE MAÎTRE DE LA MORT
IV FREDERIC LEIGHTON
V ALMA-TADEMA
AU VOLTAIRE
I L’HOMME MASQUÉ
II MES PSEUDONYMES
III HISTOIRE D’UN « CLOU »
IV LES DÉBUTS D’AUGUSTE RODIN
V UNE PAGE DE PROSE DORÉE
VI ÉMILIE GAUTIER
VII UN DOCUMENT LITTÉRAIRE
LE NOM
IGENÈSE DE LA PIÈCE
II CHARLES DE LA ROUNAT
III REFONTES
IV RÉPÉTITIONS
V GÉNÉRALE ET PREMIÈREADOLPHE DUPUIS
VI NÉOLOGISMES
VII COUTEAUX À PAPIER
HENRY BECQUE
I
II
III
HERMINIE
I
II UN POÈME EN PROSEDE THÉODORE DE BANVILLE
III UNE LECTURE CHEZ SARCEY
JOURNALISME
I CALIBAN
II FRANCIS MAGNARD
III
IV TROIS MILLIONS POUR UN ARTICLE
V DEUX PREMIÈRES EN QUATRE JOURS
LA NUIT BERGAMASQUE
I
II HISTOIRE D’UNE INDEMNITÉFORFAITAIRE
III AU THÉÂTRE LIBRE
IV PRÉFACE DE « LA NUIT BERGAMASQUE »
ENGUERRANDE
I GENÈSE DU POÈME
II UNE PRÉFACE FAMEUSE
PAR LES RUES ET LES CAFÉS
UN MYSTÈRE À LA FOIRE
LES DESSOUS DE LA TUNIQUE
VÉNUS NOIRE ET VÉNUS DE CIRE
MOLIÈRE ET LE MASQUE DE FER
I LE VRAI MOLIÈRE
II LE PRÉCURSEUR DU SYMBOLISME
SIX SEMAINES EN CORSE (1887) LE TOUR DE L’ÎLE EN CALÈCHE
LE MOUFLON DE SARTÈNE
LE PRINCE ROLAND
LE PARFUM DE L’ÎLE
AJACCIO. — LA CASA BONAPARTE
CHEZ LES BANDITS
UNE ÉLECTION
VIZZAVONA, VIVARIO, CORTE
CORTE
LA SCALA DI SANTA REGINA
DE CORTE À BASTIA
BASTIA
SAINT-FLORENT, ISOLA ROSSA, L’ALGAJOLA
CALVI ET LA BALAGNE
CARGÈSE
SARTÈNE ET BONIFACIO
LE CAPITAINE FRACASSE
I
JOURS ODÉONIENS
II UNE LETTRE RETROUVÉE
III UNE RÉPÉTITION À LA COMÉDIE-FRANÇAISE
SCÈNE I
SCÈNE II
SCÈNE III
SCÈNE IV
SCÈNE V
SCÈNE VI
SCÈNE VII ET DERNIÈRE
