Parcourir un recueil de poèmes, c’est toujours un peu une aventure...
Comme si on cherchait le chemin qui mène aux sentiments évoqués par l’auteur derrière le voile pudique des mots et des images. « Cela allait être le début de l’été / Ton visage était beau et blond / Et j’ai su que je t’attendais / Depuis déjà bien des saisons (…) »
Un amour d’été écrit pour l’éternité est un ouvrage dans lequel les poèmes se déclinent à l’aune du temps qui passe mais aussi de l’amour qui dure, mêlant couleurs et évocations champêtres, notamment à propos de la campagne normande. Le fil rouge c’est l’amour, unique et sans cesse déclaré pour la femme aimée et choisie qui, en retour, partage ce sentiment au long cours.
L’auteur est un habile conteur, car le lecteur perçoit l’histoire qui se déroule depuis la jeunesse – En ce temps-là moi j’avais mon âme de vingt ans, titre du second poème – jusqu’à la maturité avec le dernier poème intitulé Un jour. Et entre temps, on se promène dans la musique des vers, on découvre, on s’interroge, et puis on s’arrête sur une ballade récurrente qui vient de loin et qui a traversé nos provinces, comme un air familier qui vous fait signe au passage : La Belle si tu voulais, Nous dormirions ensemble (…) Jonchées autour du lit, Seront plein de pervenches… Une chanson où l’amour et la mort se tiennent par la main avec un parfum d’éternité. Allez la retrouver au détour des pages… C’est une belle rencontre.
Un recueil de poèmes qui traverse toutes les époques de la vie, depuis la jeunesse jusqu'à la maturité, et leurs émotions.
EXTRAIT D'EN CE TEMPS-LÀ MOI J'AVAIS MON ÂME DE VINGT ANS
En ce temps-là j’avais mon âme de vingt ans
Insouciant tel qu’on l’est quand on est un enfant Dans les cinés j’aimais bien aller m’enfermer Pour m’identifier aux héros qui m’enflammaient
En ce temps-là j’arpentais les trottoirs
Le cœur ardent plein de rêves d’espoir
En ce temps-là j’avais mon âme de vingt ans
Sur toutes les télés c’était du noir et blanc Y déferlait le rock n’ roll
Elvis Presley et les idoles
À PROPOS DE L'AUTEUR
Né à Avion près de Lens en 1950, Jean-Pierre Philippe a toujours été émerveillé par la manipulation des mots. Après avoir étudié l’œuvre de James Joyce, il exerce comme contrôleur des impôts en Normandie. Membre de Poètes sans Frontières, ancien délégué de Normandie de la Société des poètes et artistes de France, sociétaire du Conservatoire de la poésie classique française, il a reçu de nombreux prix, dont celui de l’Académie européenne des Arts.
Parcourir un recueil de poèmes, c’est toujours un peu une aventure...
Comme si on cherchait le chemin qui mène aux sentiments évoqués par l’auteur derrière le voile pudique des mots et des images. « Cela allait être le début de l’été / Ton visage était beau et blond / Et j’ai su que je t’attendais / Depuis déjà bien des saisons (…) »
Un amour d’été écrit pour l’éternité est un ouvrage dans lequel les poèmes se déclinent à l’aune du temps qui passe mais aussi de l’amour qui dure, mêlant couleurs et évocations champêtres, notamment à propos de la campagne normande. Le fil rouge c’est l’amour, unique et sans cesse déclaré pour la femme aimée et choisie qui, en retour, partage ce sentiment au long cours.
L’auteur est un habile conteur, car le lecteur perçoit l’histoire qui se déroule depuis la jeunesse – En ce temps-là moi j’avais mon âme de vingt ans, titre du second poème – jusqu’à la maturité avec le dernier poème intitulé Un jour. Et entre temps, on se promène dans la musique des vers, on découvre, on s’interroge, et puis on s’arrête sur une ballade récurrente qui vient de loin et qui a traversé nos provinces, comme un air familier qui vous fait signe au passage : La Belle si tu voulais, Nous dormirions ensemble (…) Jonchées autour du lit, Seront plein de pervenches… Une chanson où l’amour et la mort se tiennent par la main avec un parfum d’éternité. Allez la retrouver au détour des pages… C’est une belle rencontre.
Un recueil de poèmes qui traverse toutes les époques de la vie, depuis la jeunesse jusqu'à la maturité, et leurs émotions.
EXTRAIT D'EN CE TEMPS-LÀ MOI J'AVAIS MON ÂME DE VINGT ANS
En ce temps-là j’avais mon âme de vingt ans
Insouciant tel qu’on l’est quand on est un enfant Dans les cinés j’aimais bien aller m’enfermer Pour m’identifier aux héros qui m’enflammaient
En ce temps-là j’arpentais les trottoirs
Le cœur ardent plein de rêves d’espoir
En ce temps-là j’avais mon âme de vingt ans
Sur toutes les télés c’était du noir et blanc Y déferlait le rock n’ roll
Elvis Presley et les idoles
À PROPOS DE L'AUTEUR
Né à Avion près de Lens en 1950, Jean-Pierre Philippe a toujours été émerveillé par la manipulation des mots. Après avoir étudié l’œuvre de James Joyce, il exerce comme contrôleur des impôts en Normandie. Membre de Poètes sans Frontières, ancien délégué de Normandie de la Société des poètes et artistes de France, sociétaire du Conservatoire de la poésie classique française, il a reçu de nombreux prix, dont celui de l’Académie européenne des Arts.