Author: | ALPHONSE MOMAS | ISBN: | 1230001058031 |
Publisher: | GILBERT TEROL | Publication: | May 1, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | ALPHONSE MOMAS |
ISBN: | 1230001058031 |
Publisher: | GILBERT TEROL |
Publication: | May 1, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
Extrait :
— Vous fatiguez-vous, ma petite ?
— Oh, pas du tout, j’aimerais bien qu’on me touchât.
— Patience, patience ! Maintenant, troussez-vous par derrière et très haut aussi, montrez votre joli cul.
— Il n’est pas si joli que celui de Mademoiselle Alexandrine.
— Mais si, mais si ! Vous l’a-t-on fouetté souvent, lorsque vous étiez jeunette ?
— Deux ou trois fois, pas plus.
— Et depuis que vous êtes grande ?
— Ah, depuis que miss Blettown est ma gouvernante, elle m’a bien fessée une centaine de fois.
— Est-ce exact, Miss ?
— Ne le feriez-vous pas à ma place, devant d’aussi belles rondeurs.
— Et vous, elle ne vous fessait pas ?
— Oh si, la mignonne, elle a voulu voir… mon cul et elle ne l’a pas trouvé laid.
— Un cul n’est jamais laid, vous le savez bien.
— C’est juste.
— Et le vôtre, Miss, a plus d’un amateur pour le peloter, quand il gigote de droite et de gauche.
— Aoh yes, de droite et de gauche.
— Bien, mon enfant, vous tenez parfaitement le cul ; abaissez vos jupes et déshabillez-vous.
— Me déshabiller !
— Dame, la Vérité est nue, et il faut que nous nous rendions compte si vous êtes fille de Vérité. Bellanier, vous trémoussez des jambes, prenez patience, mon ami.
Miss Blettown aida Balbyne à se dévêtir, et, dès qu’elle fut nue, conservant ses bas et ses bottines, Tisse sortit son membre de dessous sa soutane et dit en le gardant dans la main :
— Voilà ce qui fait l’homme, Balbyne ; par cela qui lui crée la puissance, il est le roi de la terre et le maître de la femme. Acceptez-vous son doux service dans la vue et le toucher ?
— Je l’accepte.
— Bellanier, mon ami, montrez votre queue, c’est le moment.
— Enfin ! Oh oui, voilà de l’art ! parlez-moi de ça ! Qu’importe la forme, si l’on sait ce qu’on veut ! Ces gueux de pornographes, ils ne le savent pas, eux, ils font tous des images là où il faut de l’action.
— Ne pensons plus aux turpitudes du dehors, ne pensons plus qu’à la gravité de la mission que nous nous sommes imposés. Réunir les brebis éparses du troupeau sous la sainte autorité des ministres de Dieu, en leur distribuant les sensations charnelles, afin qu’elles résistent à la tentation de prendre un sot amant dans le monde.
— Vous êtes très bien faite, ma fille, approchez, agenouillez-vous devant notre signe viril et étudiez-le à votre aise, pour vous accoutumer à le manipuler dans le plaisir et le rêve, Alexandrine, Bellanier vous sollicitait ; allez à lui et contentez-le, comme il vous contentera. Ma chère Miss, venez par ici, que nous éduquions votre jeune pupille.
Extrait :
— Vous fatiguez-vous, ma petite ?
— Oh, pas du tout, j’aimerais bien qu’on me touchât.
— Patience, patience ! Maintenant, troussez-vous par derrière et très haut aussi, montrez votre joli cul.
— Il n’est pas si joli que celui de Mademoiselle Alexandrine.
— Mais si, mais si ! Vous l’a-t-on fouetté souvent, lorsque vous étiez jeunette ?
— Deux ou trois fois, pas plus.
— Et depuis que vous êtes grande ?
— Ah, depuis que miss Blettown est ma gouvernante, elle m’a bien fessée une centaine de fois.
— Est-ce exact, Miss ?
— Ne le feriez-vous pas à ma place, devant d’aussi belles rondeurs.
— Et vous, elle ne vous fessait pas ?
— Oh si, la mignonne, elle a voulu voir… mon cul et elle ne l’a pas trouvé laid.
— Un cul n’est jamais laid, vous le savez bien.
— C’est juste.
— Et le vôtre, Miss, a plus d’un amateur pour le peloter, quand il gigote de droite et de gauche.
— Aoh yes, de droite et de gauche.
— Bien, mon enfant, vous tenez parfaitement le cul ; abaissez vos jupes et déshabillez-vous.
— Me déshabiller !
— Dame, la Vérité est nue, et il faut que nous nous rendions compte si vous êtes fille de Vérité. Bellanier, vous trémoussez des jambes, prenez patience, mon ami.
Miss Blettown aida Balbyne à se dévêtir, et, dès qu’elle fut nue, conservant ses bas et ses bottines, Tisse sortit son membre de dessous sa soutane et dit en le gardant dans la main :
— Voilà ce qui fait l’homme, Balbyne ; par cela qui lui crée la puissance, il est le roi de la terre et le maître de la femme. Acceptez-vous son doux service dans la vue et le toucher ?
— Je l’accepte.
— Bellanier, mon ami, montrez votre queue, c’est le moment.
— Enfin ! Oh oui, voilà de l’art ! parlez-moi de ça ! Qu’importe la forme, si l’on sait ce qu’on veut ! Ces gueux de pornographes, ils ne le savent pas, eux, ils font tous des images là où il faut de l’action.
— Ne pensons plus aux turpitudes du dehors, ne pensons plus qu’à la gravité de la mission que nous nous sommes imposés. Réunir les brebis éparses du troupeau sous la sainte autorité des ministres de Dieu, en leur distribuant les sensations charnelles, afin qu’elles résistent à la tentation de prendre un sot amant dans le monde.
— Vous êtes très bien faite, ma fille, approchez, agenouillez-vous devant notre signe viril et étudiez-le à votre aise, pour vous accoutumer à le manipuler dans le plaisir et le rêve, Alexandrine, Bellanier vous sollicitait ; allez à lui et contentez-le, comme il vous contentera. Ma chère Miss, venez par ici, que nous éduquions votre jeune pupille.