Le récit d’une démarche qui suscita tant l’affection que l’aversion
Michel Bavaud est né en 1932 à Echallens. Ancien professeur de littérature à l’Ecole Normale de Fribourg, il marqua une génération d’instituteurs fribourgeois par son exigence et ses prises de position éthique. Grammairien reconnu, il collabora avec diverses revues pédagogiques et quotidiens auxquels il livra des remarques sur la langue française et aussi sur l’état du monde en recourant à divers pseudonymes. Un itinéraire émouvant qui nous saisit comme un appel à la liberté. Comment passe-t-on du catholicisme traditionnel à la philosophie éclairée de Socrate ? Doit-on considérer la croyance en Dieu comme un manque de courage ? Le devoir de loyauté envers les ancêtres peut-il entraver le chemin de la vérité ?
Un petit livre bouillonnant de questions, violent mais respectueux, qui vous conduira sur des chemins où vous n’auriez pas consenti à aller.
Témoignage et confidences sincères d’un croyant devenu athée
EXTRAIT
Je n’ai pas eu à chercher Dieu. On me l’a donné. Je l’ai sucé avec le lait de ma mère, je l’ai retrouvé dans l’éducation de mon père, de mes instituteurs, de mes professeurs, dans le compagnonnage de mes camarades, je l’ai mieux connu grâce au curé de mon catéchisme, aux profs d’instruction religieuse, aux sermons du dimanche, à la lecture de la Bible, aux explications des théologiens, à la sainte Eglise catholique, apostolique et romaine. Je l’ai prié tous les jours jusque tard dans ma vie avec confiance et reconnaissance. Bien sûr, il y avait parfois un temps incertain, quelques nuages menaçants, mais pas d’orages trop violents, pas de gel dévastateur. Les questions embarrassantes restaient en suspens dans la vaporeuse brume des illusions ou dans l’éblouissante constellation des Mystères…
CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE
- « Michel Bavaud, au soir de sa vie, assène qu’il ne croit plus, il est devenu athée. Il le clame dans une langue cinglante, parfois drôle. Phénomène éditorial, l’ouvrage a déjà été vendu à plus de 5000 exemplaires. » - Marc David, L’illustré
- « Michel Bavaud, à 80 ans, vient de congédier Dieu. Son livre Dieu, ce beau mirage est le témoignage d’un croyant fervent qui s’est senti peu à peu trahi par l’Eglise, son langage, son dogmatisme. Cet « athéisme » tardif est peut-être la plus sincère des prières.» - Albert Longchamp, Portail catholique suisse
A PROPOS DE L’AUTEUR
Michel Bavaud est né à Echallens (Suisse) en 1932. Ancien professeur de littérature à l’Ecole Normale de Fribourg, il a écrit pour plusieurs journaux et revues, des centaines d’articles pédagogiques, réflexions politiques, religieuses, billets d’humeur, chroniques, ou critiques.
A l’âge où souvenirs et rêves finissent par se confondre, l’écriture devient son recours contre la décrépitude, puisque avec elle, Michel Bavaud peut raconter des souvenirs tissés d’imaginaire, mêler passé et présent, inventer un futur ou corriger un destin.
Le récit d’une démarche qui suscita tant l’affection que l’aversion
Michel Bavaud est né en 1932 à Echallens. Ancien professeur de littérature à l’Ecole Normale de Fribourg, il marqua une génération d’instituteurs fribourgeois par son exigence et ses prises de position éthique. Grammairien reconnu, il collabora avec diverses revues pédagogiques et quotidiens auxquels il livra des remarques sur la langue française et aussi sur l’état du monde en recourant à divers pseudonymes. Un itinéraire émouvant qui nous saisit comme un appel à la liberté. Comment passe-t-on du catholicisme traditionnel à la philosophie éclairée de Socrate ? Doit-on considérer la croyance en Dieu comme un manque de courage ? Le devoir de loyauté envers les ancêtres peut-il entraver le chemin de la vérité ?
Un petit livre bouillonnant de questions, violent mais respectueux, qui vous conduira sur des chemins où vous n’auriez pas consenti à aller.
Témoignage et confidences sincères d’un croyant devenu athée
EXTRAIT
Je n’ai pas eu à chercher Dieu. On me l’a donné. Je l’ai sucé avec le lait de ma mère, je l’ai retrouvé dans l’éducation de mon père, de mes instituteurs, de mes professeurs, dans le compagnonnage de mes camarades, je l’ai mieux connu grâce au curé de mon catéchisme, aux profs d’instruction religieuse, aux sermons du dimanche, à la lecture de la Bible, aux explications des théologiens, à la sainte Eglise catholique, apostolique et romaine. Je l’ai prié tous les jours jusque tard dans ma vie avec confiance et reconnaissance. Bien sûr, il y avait parfois un temps incertain, quelques nuages menaçants, mais pas d’orages trop violents, pas de gel dévastateur. Les questions embarrassantes restaient en suspens dans la vaporeuse brume des illusions ou dans l’éblouissante constellation des Mystères…
CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE
- « Michel Bavaud, au soir de sa vie, assène qu’il ne croit plus, il est devenu athée. Il le clame dans une langue cinglante, parfois drôle. Phénomène éditorial, l’ouvrage a déjà été vendu à plus de 5000 exemplaires. » - Marc David, L’illustré
- « Michel Bavaud, à 80 ans, vient de congédier Dieu. Son livre Dieu, ce beau mirage est le témoignage d’un croyant fervent qui s’est senti peu à peu trahi par l’Eglise, son langage, son dogmatisme. Cet « athéisme » tardif est peut-être la plus sincère des prières.» - Albert Longchamp, Portail catholique suisse
A PROPOS DE L’AUTEUR
Michel Bavaud est né à Echallens (Suisse) en 1932. Ancien professeur de littérature à l’Ecole Normale de Fribourg, il a écrit pour plusieurs journaux et revues, des centaines d’articles pédagogiques, réflexions politiques, religieuses, billets d’humeur, chroniques, ou critiques.
A l’âge où souvenirs et rêves finissent par se confondre, l’écriture devient son recours contre la décrépitude, puisque avec elle, Michel Bavaud peut raconter des souvenirs tissés d’imaginaire, mêler passé et présent, inventer un futur ou corriger un destin.