Author: | Pascal Gibourg | ISBN: | 9782814551534 |
Publisher: | publie.net | Publication: | August 31, 2008 |
Imprint: | publie.net | Language: | French |
Author: | Pascal Gibourg |
ISBN: | 9782814551534 |
Publisher: | publie.net |
Publication: | August 31, 2008 |
Imprint: | publie.net |
Language: | French |
De ce qui se passe quand on écrit, bien sûr on ne sait rien, mais on consacre une quantité infinie de forces, de mécaniques, à essayer d’appréhender et ce vide, et ce vertige.
Et ceux qui nous y emmènent le plus près, sont seulement ceux qui sont le plus apte à nous le dire en tant que vertige, à le questionner en tant qu’obscur.
Les trois textes ici rassemblés de Pascal Gibourg sont trois figures de la même approche : pour l’écrivain, écrire est forcément une obsession, commence-t-il dans le troisième texte. C’est cette obsession qu’on accepte, et qui nous requiert alors sans reste.
A chacun sa grille et ses outils pour appréhender la question unique. Pascal Gibourg l’a éduquée et formée dans Blanchot. Sur publie.net, nous accueillons déjà un texte qui est aussi cette approche, mais cette fois creusant l’invention de Michaux, le fantastique et le corps : Facultés de Michaux.
Et, si Proust n’est pas nommé, comment ne pas lire dans le magnifique premier texte une approche du temps particulièrement active pour penser l’invention de la Recherche ?
Nous souhaitons privilégier, dans publie.net, cette approche réflexive de la littérature par ceux qui l’écrivent. On pourra être en complet désaccord avec l’approche violente de Pascal Gibourg concernant La maladie et la mort de Marguerite Duras qui fait le centre de cette étude. C’est bien de réouvrir l’approche aujourd’hui de ce qu’est écrire qui compte, aux temps du consensus marchand : que le débat advienne, il y a la place ici pour accepter d’autres ouvertures, d’autres réflexions.
Néanmoins, ce qui ici travaille, c’est la langue : comment elle se forme, comment elle se risque. Merci à Pascal Gibourg de bien vouloir le mettre en partage.
De ce qui se passe quand on écrit, bien sûr on ne sait rien, mais on consacre une quantité infinie de forces, de mécaniques, à essayer d’appréhender et ce vide, et ce vertige.
Et ceux qui nous y emmènent le plus près, sont seulement ceux qui sont le plus apte à nous le dire en tant que vertige, à le questionner en tant qu’obscur.
Les trois textes ici rassemblés de Pascal Gibourg sont trois figures de la même approche : pour l’écrivain, écrire est forcément une obsession, commence-t-il dans le troisième texte. C’est cette obsession qu’on accepte, et qui nous requiert alors sans reste.
A chacun sa grille et ses outils pour appréhender la question unique. Pascal Gibourg l’a éduquée et formée dans Blanchot. Sur publie.net, nous accueillons déjà un texte qui est aussi cette approche, mais cette fois creusant l’invention de Michaux, le fantastique et le corps : Facultés de Michaux.
Et, si Proust n’est pas nommé, comment ne pas lire dans le magnifique premier texte une approche du temps particulièrement active pour penser l’invention de la Recherche ?
Nous souhaitons privilégier, dans publie.net, cette approche réflexive de la littérature par ceux qui l’écrivent. On pourra être en complet désaccord avec l’approche violente de Pascal Gibourg concernant La maladie et la mort de Marguerite Duras qui fait le centre de cette étude. C’est bien de réouvrir l’approche aujourd’hui de ce qu’est écrire qui compte, aux temps du consensus marchand : que le débat advienne, il y a la place ici pour accepter d’autres ouvertures, d’autres réflexions.
Néanmoins, ce qui ici travaille, c’est la langue : comment elle se forme, comment elle se risque. Merci à Pascal Gibourg de bien vouloir le mettre en partage.