Author: | Octave Mirbeau | ISBN: | 9782851977984 |
Publisher: | Editions de L'Herne | Publication: | November 19, 2012 |
Imprint: | Smashwords Edition | Language: | French |
Author: | Octave Mirbeau |
ISBN: | 9782851977984 |
Publisher: | Editions de L'Herne |
Publication: | November 19, 2012 |
Imprint: | Smashwords Edition |
Language: | French |
La mort de Balzac figurait initialement dans le récit d’Octave Mirbeau intitulé La 628-E8. Un curieux titre pour un curieux texte. Le titre correspond à la plaque minéralogique de la voiture de l’auteur, avec laquelle il parcourut le nord de la France. Le récit est un hymne à l’automobile (il est dédié à un constructeur de voitures de l’époque), mêlant impressions de voyage, remarques historiques, digressions esthétiques.
Les pages consacrées à la mort de Balzac ont fait scandale, car mettant en cause la respectabilité de madame Hanska, icône balzacienne, qui aurait entretenu avec son amant, le peintre Jean Gigoux, des relations charnelles pendant que son mari, Honoré, agonisait dans la pièce voisine. À la sortie du livre, en 1907, madame Hanska n’était plus de ce monde, mais non sa fille, ce qu’ignorait Mirbeau. À la demande de cette dernière, il supprima in extremis le chapitre concerné.
Remarquablement écrites, féroces, sans doute un peu injustes, ces pages dressent un portrait original et paradoxal de l’auteur de la Comédie humaine.
La mort de Balzac figurait initialement dans le récit d’Octave Mirbeau intitulé La 628-E8. Un curieux titre pour un curieux texte. Le titre correspond à la plaque minéralogique de la voiture de l’auteur, avec laquelle il parcourut le nord de la France. Le récit est un hymne à l’automobile (il est dédié à un constructeur de voitures de l’époque), mêlant impressions de voyage, remarques historiques, digressions esthétiques.
Les pages consacrées à la mort de Balzac ont fait scandale, car mettant en cause la respectabilité de madame Hanska, icône balzacienne, qui aurait entretenu avec son amant, le peintre Jean Gigoux, des relations charnelles pendant que son mari, Honoré, agonisait dans la pièce voisine. À la sortie du livre, en 1907, madame Hanska n’était plus de ce monde, mais non sa fille, ce qu’ignorait Mirbeau. À la demande de cette dernière, il supprima in extremis le chapitre concerné.
Remarquablement écrites, féroces, sans doute un peu injustes, ces pages dressent un portrait original et paradoxal de l’auteur de la Comédie humaine.