La conjonction, le rendez-vous, la rencontre ou la relation entre le droit et la communication se pense ! À tout le moins, c’est la proposition que nous fait Guillaume Provencher dans son ouvrage. Au fil de son étude, l’auteur réfléchit et dessine les noeuds, les contextes et les ramifications multiples et divergentes qui entrent en ligne de compte dans le traitement de cette conjonction audacieuse. Il mobilise avec maestria les théories de la communication qu’il approfondit et dirige ensuite avec finesse vers les produits culturels et humains. En faisant cela, il vient démontrer tout le bien-fondé de sa démarche et confirme du même coup la pertinence de son essai. Provencher saisit une problématique d’actualité et soulève un questionnement théorique qui vise le coeur même de notre modernité juridique, c’est-à-dire une modernité qui se comprend par l’examen à la fois pratique et théorique de la relation entre droit et communication. À première vue, retenons d’abord simplement que la communication a quelque chose à faire avec le droit et que cela se constate autant dans la pratique juridique que dans la théorisation du droit. La thèse de Provencher est hardie et parfois complexe, mais elle a toujours l’avantage scriptural de plaire et d’ouvrir le lecteur bienveillant à une appréciation différente du monde culturel qui l’entoure ; un monde où la littérature, les films, la musique, le théâtre, les « lyrics » et la poésie peuvent nous instruire sur les rendez-vous, voire les rencontres amoureuses et même libidineuses que peuvent entretenir le droit et la communication. Trop en dire risquerait de ruiner le plaisir et le bonheur du lectorat de découvrir lui-même les nouvelles contrées évoquées. Aux lecteurs d’apprécier.
La conjonction, le rendez-vous, la rencontre ou la relation entre le droit et la communication se pense ! À tout le moins, c’est la proposition que nous fait Guillaume Provencher dans son ouvrage. Au fil de son étude, l’auteur réfléchit et dessine les noeuds, les contextes et les ramifications multiples et divergentes qui entrent en ligne de compte dans le traitement de cette conjonction audacieuse. Il mobilise avec maestria les théories de la communication qu’il approfondit et dirige ensuite avec finesse vers les produits culturels et humains. En faisant cela, il vient démontrer tout le bien-fondé de sa démarche et confirme du même coup la pertinence de son essai. Provencher saisit une problématique d’actualité et soulève un questionnement théorique qui vise le coeur même de notre modernité juridique, c’est-à-dire une modernité qui se comprend par l’examen à la fois pratique et théorique de la relation entre droit et communication. À première vue, retenons d’abord simplement que la communication a quelque chose à faire avec le droit et que cela se constate autant dans la pratique juridique que dans la théorisation du droit. La thèse de Provencher est hardie et parfois complexe, mais elle a toujours l’avantage scriptural de plaire et d’ouvrir le lecteur bienveillant à une appréciation différente du monde culturel qui l’entoure ; un monde où la littérature, les films, la musique, le théâtre, les « lyrics » et la poésie peuvent nous instruire sur les rendez-vous, voire les rencontres amoureuses et même libidineuses que peuvent entretenir le droit et la communication. Trop en dire risquerait de ruiner le plaisir et le bonheur du lectorat de découvrir lui-même les nouvelles contrées évoquées. Aux lecteurs d’apprécier.