Author: | Alphonse Momas | ISBN: | 1230000229918 |
Publisher: | GILBERT TEROL | Publication: | April 1, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Alphonse Momas |
ISBN: | 1230000229918 |
Publisher: | GILBERT TEROL |
Publication: | April 1, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Il couchait au fond d’un couloir, non loin duquel se trouvait le petit cabinet. Adeline avait sa chambre à côté de celle de sa mère, que n’eut pas éveillée la détonation d’un canon.
À une heure du matin, la fillette, qui ne cessait de s’agiter dans sa couche, descendit avec précaution de son lit passa un jupon et ses mules et sortit tout doucement.
Elle se dirigea droit vers la porte de l’abbé.
Pressentit-il l’aventure, ou s’appliqua-t-il à la magnétiser à distance ? La porte entrouverte témoigna à Adeline qu’on l’attendait.
Elle entra sans hésitation et, à tâtons, guidée par la respiration du prêtre, s’approcha du lit. Étendant les bras en avant, elle rencontra les mains de l’abbé qui lui poussa la tête vers ses cuisses où priape dressait son orgueilleux panache.
Oh ! cette seconde ! elle l’eût payée de vingt mille lignes à copier !
Sa bouche s’empara de la queue et l’engloutit à plusieurs reprises, tandis que l’abbé la retroussait, lui pelotait les fesses et le conin, enfonçant le petit doigt dans le trou du cul qui pétillait de volupté à chaque mouvement.
Par moment elle s’arrêtait, appuyait les joues sur les cuisses de l’heureux gaillard, gardait priape dans la main, et s’en tapotait le visage.
L’abbé promenait alors les mains vers la gorgerette et constatait la naissance de deux nénés mignons, promettant à ses attouchements.
Il saisissait sa queue, la repiquait vers les lèvres qui s’ouvraient gloutonnement, et il se masturbait pour éjaculer plus vite dans cette jeune bouche.
Il couchait au fond d’un couloir, non loin duquel se trouvait le petit cabinet. Adeline avait sa chambre à côté de celle de sa mère, que n’eut pas éveillée la détonation d’un canon.
À une heure du matin, la fillette, qui ne cessait de s’agiter dans sa couche, descendit avec précaution de son lit passa un jupon et ses mules et sortit tout doucement.
Elle se dirigea droit vers la porte de l’abbé.
Pressentit-il l’aventure, ou s’appliqua-t-il à la magnétiser à distance ? La porte entrouverte témoigna à Adeline qu’on l’attendait.
Elle entra sans hésitation et, à tâtons, guidée par la respiration du prêtre, s’approcha du lit. Étendant les bras en avant, elle rencontra les mains de l’abbé qui lui poussa la tête vers ses cuisses où priape dressait son orgueilleux panache.
Oh ! cette seconde ! elle l’eût payée de vingt mille lignes à copier !
Sa bouche s’empara de la queue et l’engloutit à plusieurs reprises, tandis que l’abbé la retroussait, lui pelotait les fesses et le conin, enfonçant le petit doigt dans le trou du cul qui pétillait de volupté à chaque mouvement.
Par moment elle s’arrêtait, appuyait les joues sur les cuisses de l’heureux gaillard, gardait priape dans la main, et s’en tapotait le visage.
L’abbé promenait alors les mains vers la gorgerette et constatait la naissance de deux nénés mignons, promettant à ses attouchements.
Il saisissait sa queue, la repiquait vers les lèvres qui s’ouvraient gloutonnement, et il se masturbait pour éjaculer plus vite dans cette jeune bouche.