Docteur en médecine depuis 1980, l’auteure exerce son activité sur le mode libéral. En 2009, elle s’engage à dispenser des enseignements dans un laboratoire d’éthique Médicale. La nécessité d’un questionnement sur sa fonction de soignante s’était imposée à elle comme une urgence éthique dès les débuts de son installation en 1984. Durant ses études, Aline-Laure Strebler se passionne autant pour la médecine de l’urgence et de l’innovation que pour les médecines dites alternatives ; pour elle, ces dernières instaurent un dialogue original entre le patient et le médecin. En synchronie avec l’apprentissage de sa future profession, son intérêt pour l’histoire et la pratique de l’art l’amène à mêler de façon indissociable Science et Créativité. Le médecin occidental s’arrête sur ce qui fait symptômes puis traite, mais le suivi de la pathologie permet de comprendre comment s’interroger ensemble sur un « art de vivre avec sa maladie » est susceptible de transformer la qualité de vie du patient. Avec le concours de personnes atteintes de maladies chroniques graves, une nouvelle forme de médecine s’invente où s’invitent l’écriture et les arts. Les résultats sont si encourageants que cette pratique s’inscrit naturellement comme partie intégrante de l’acte médical. Ce présent ouvrage relate quelquesuns de ces parcours singuliers. En Chine, les arts s’enseignent dès le plus jeune âge et sont pratiqués autant par le médecin traditionnel que par ses patients. Depuis le suivi de cursus universitaires dispensés à la fois par des médecins chinois, des scientifiques physiciens, des anthropologues, des médecins chercheurs et par un philosophe sinologue, l’auteure questionne incessamment son activité. Des incursions dans une langue figurative composée d’idéogrammes explicitant par leur graphie le déroulement d’un syndrome, réalisant ce qu’en Occident on appelle maladie, concourent à une autre approche de la Personne et de ses atteintes. Lorsque en complément de la visée de la médecine technicienne, certes indispensable, une autre « voie d’abord » du symptôme est proposée, c’est le patient qui en est le bénéficiaire.
Docteur en médecine depuis 1980, l’auteure exerce son activité sur le mode libéral. En 2009, elle s’engage à dispenser des enseignements dans un laboratoire d’éthique Médicale. La nécessité d’un questionnement sur sa fonction de soignante s’était imposée à elle comme une urgence éthique dès les débuts de son installation en 1984. Durant ses études, Aline-Laure Strebler se passionne autant pour la médecine de l’urgence et de l’innovation que pour les médecines dites alternatives ; pour elle, ces dernières instaurent un dialogue original entre le patient et le médecin. En synchronie avec l’apprentissage de sa future profession, son intérêt pour l’histoire et la pratique de l’art l’amène à mêler de façon indissociable Science et Créativité. Le médecin occidental s’arrête sur ce qui fait symptômes puis traite, mais le suivi de la pathologie permet de comprendre comment s’interroger ensemble sur un « art de vivre avec sa maladie » est susceptible de transformer la qualité de vie du patient. Avec le concours de personnes atteintes de maladies chroniques graves, une nouvelle forme de médecine s’invente où s’invitent l’écriture et les arts. Les résultats sont si encourageants que cette pratique s’inscrit naturellement comme partie intégrante de l’acte médical. Ce présent ouvrage relate quelquesuns de ces parcours singuliers. En Chine, les arts s’enseignent dès le plus jeune âge et sont pratiqués autant par le médecin traditionnel que par ses patients. Depuis le suivi de cursus universitaires dispensés à la fois par des médecins chinois, des scientifiques physiciens, des anthropologues, des médecins chercheurs et par un philosophe sinologue, l’auteure questionne incessamment son activité. Des incursions dans une langue figurative composée d’idéogrammes explicitant par leur graphie le déroulement d’un syndrome, réalisant ce qu’en Occident on appelle maladie, concourent à une autre approche de la Personne et de ses atteintes. Lorsque en complément de la visée de la médecine technicienne, certes indispensable, une autre « voie d’abord » du symptôme est proposée, c’est le patient qui en est le bénéficiaire.