Author: | Alphonse Momas | ISBN: | 1230000229910 |
Publisher: | GILBERT TEROL | Publication: | April 1, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Alphonse Momas |
ISBN: | 1230000229910 |
Publisher: | GILBERT TEROL |
Publication: | April 1, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Relevant sa robe par derrière pour ne pas la salir, elle s’assit sur une pente, et d’un signe de tête appelant les fillettes qui pénétraient à leur tour, elle leur fit former le cercle pour leur parler.
― Vite, chéries, ne nous attardons pas, Betty vous a mises au courant, je vais vous faire une caresse comme vous n’en connaissez pas : vous deviendrez ainsi mes petites amies, et nous nous retrouverons pour encore mieux nous amuser. Commençons, Betty.
Betty, les jupes retroussées jusqu’à la ceinture, approcha les cuisses de son visage, en se plaçant presque à cheval sur ses épaules. Glissant la main, Reine lui entrouvrit le pantalon, souleva la chemise et découvrit le jeune conin encore imberbe. Elle y colla la bouche avec avidité, aspira avec gloutonnerie, darda à plusieurs reprises la langue, picotant et chatouillant les chairs, pelota les fesses avec les mains en croc et murmura :
― Tourne-toi de l’autre côté.
La même manœuvre s’exécuta sur le postérieur, et les trois fillettes spectatrices, ignorant encore l’effet de ces caresses, frissonnaient en voyant leur compagne se prêter avec délices aux attouchements libertins de la bouche et de la main de Reine.
― Quel dommage que ce ne soit pas plus long ! dit avec regret Betty.
Reine la repoussait et attrapait la brunette, qu’elle expédia un peu plus promptement, ainsi que la suivante et arrivait à Hilda qui, pâle et tremblante
Relevant sa robe par derrière pour ne pas la salir, elle s’assit sur une pente, et d’un signe de tête appelant les fillettes qui pénétraient à leur tour, elle leur fit former le cercle pour leur parler.
― Vite, chéries, ne nous attardons pas, Betty vous a mises au courant, je vais vous faire une caresse comme vous n’en connaissez pas : vous deviendrez ainsi mes petites amies, et nous nous retrouverons pour encore mieux nous amuser. Commençons, Betty.
Betty, les jupes retroussées jusqu’à la ceinture, approcha les cuisses de son visage, en se plaçant presque à cheval sur ses épaules. Glissant la main, Reine lui entrouvrit le pantalon, souleva la chemise et découvrit le jeune conin encore imberbe. Elle y colla la bouche avec avidité, aspira avec gloutonnerie, darda à plusieurs reprises la langue, picotant et chatouillant les chairs, pelota les fesses avec les mains en croc et murmura :
― Tourne-toi de l’autre côté.
La même manœuvre s’exécuta sur le postérieur, et les trois fillettes spectatrices, ignorant encore l’effet de ces caresses, frissonnaient en voyant leur compagne se prêter avec délices aux attouchements libertins de la bouche et de la main de Reine.
― Quel dommage que ce ne soit pas plus long ! dit avec regret Betty.
Reine la repoussait et attrapait la brunette, qu’elle expédia un peu plus promptement, ainsi que la suivante et arrivait à Hilda qui, pâle et tremblante